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Loi Travail: FO dénonce des interpellations
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Force ouvrière dénonce l'interpellation de six membres de son service d'ordre lors de la manifestation d'hier à Paris contre la loi Travail, qui s'est déroulée dans le calme sous la surveillance d'un imposant dispositif policier. Au total 81 personnes ont été interpellées lors de contrôles effectués par les forces de l'ordre en amont et pendant la manifestation.
Selon l'union départementale de FO, six membres de son service d'ordre ont été interpellés. Deux d'entre eux ont passé la nuit au dépôt et devaient être traduits devant la justice aujourd'hui. La préfecture a déclaré mardi que le dispositif de filtrage des accès au lieu de départ du cortège avait permis l'interpellation de 27 personnes "porteuses de poing américain, matraque télescopique, cutter, couteaux, artifices ou de matériels permettant de se dissimuler". Ces militants "viennent dans les manifestations, non seulement pour porter leur revendication de retrait du projet de loi, mais également pour assurer la sécurité du cortège et des manifestants", écrit-elle dans un communiqué.
"Quel drôle de gouvernement que celui-ci, qui arrête des militants syndicaux, qui ne veut pas pratiquer le dialogue social, qui 'dégaine' le 49-3 et qui est à deux doigts d'interdire les manifestations", ajoute-t-elle. La manifestation de mardi à Paris contre la loi Travail a rassemblé mardi 55 000 personnes selon les organisateurs et 15 000 d'après la police, un chiffre en légère baisse par rapport à la semaine dernière. FO, qui récuse tout essoufflement du mouvement, justifie la moindre affluence par les barrages filtrants mis en place depuis jeudi dernier par les forces de l'ordre en amont des manifestations. Les syndicats opposés à la loi Travail ont annoncé une nouvelle "journée d'actions" le 5 juillet.
Selon l'union départementale de FO, six membres de son service d'ordre ont été interpellés. Deux d'entre eux ont passé la nuit au dépôt et devaient être traduits devant la justice aujourd'hui. La préfecture a déclaré mardi que le dispositif de filtrage des accès au lieu de départ du cortège avait permis l'interpellation de 27 personnes "porteuses de poing américain, matraque télescopique, cutter, couteaux, artifices ou de matériels permettant de se dissimuler". Ces militants "viennent dans les manifestations, non seulement pour porter leur revendication de retrait du projet de loi, mais également pour assurer la sécurité du cortège et des manifestants", écrit-elle dans un communiqué.
"Quel drôle de gouvernement que celui-ci, qui arrête des militants syndicaux, qui ne veut pas pratiquer le dialogue social, qui 'dégaine' le 49-3 et qui est à deux doigts d'interdire les manifestations", ajoute-t-elle. La manifestation de mardi à Paris contre la loi Travail a rassemblé mardi 55 000 personnes selon les organisateurs et 15 000 d'après la police, un chiffre en légère baisse par rapport à la semaine dernière. FO, qui récuse tout essoufflement du mouvement, justifie la moindre affluence par les barrages filtrants mis en place depuis jeudi dernier par les forces de l'ordre en amont des manifestations. Les syndicats opposés à la loi Travail ont annoncé une nouvelle "journée d'actions" le 5 juillet.




