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La Palestine doit vivre debout et non à genoux !
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
La Palestine doit vivre debout et non à genoux ! -- Appel collectif (legrandsoir.info)
Nous lançons cet Appel, il y a urgence. Car, en toute impunité un génocide est en cours, celui du peuple palestinien. Il s’agit d’un crime contre l’humanité.
C’est avec une très grande tristesse et un sentiment d’horreur que nous assistons aux milliers de tués sous les bombardements israéliens, en particulier les civils et parmi eux de nombreux enfants. Nous sommes des combattants de la paix et nous savons donc qu’il n’y aura pas de paix en Palestine comme partout ailleurs sans justice, sans la fin de l’occupation illégale et de la colonisation qui contribue comme le rappelle les Nations Unies à un apartheid assumé par des colons en armes bénéficiant d’une totale impunité, comme de la protection d’une armée à leur service exclusif et dont la violence aveugle est le quotidien de millions de Palestiniens. Depuis 75 années, nous sommes arrivés au « trop c’est trop ». Le refus des Etats-Unis, de l’Europe et d’autres Etats d’assumer leurs responsabilités est la cause principale de cette situation dramatique. La mobilisation de l’ensemble des organisations palestiniennes de la résistance dont le Hamas mais aussi le Fatah (les brigades Al Aqsa), le Front Populaire de Libération de la Palestine, le Front Démocratique pour la Libération de la Palestine, le Jihad islamique, la Parti du Peuple Palestinien (parti communiste) est une réponse aux attaques incessantes d’Israël qui ont précédé et qui se sont intensifié ces dernières semaines comme le disent très clairement les pacifistes israéliens et de nombreux groupes de juifs démocrates en France, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et ailleurs.
C’est ce que soulignent aussi les millions de manifestants solidaires de la nation Palestinienne dans tout le monde arabe, mais aussi à New York et dans les grandes villes des Etats-Unis, à Londres, à Berlin et Düsseldorf, à Bruxelles, à Rome et Milan, à Paris et Genève, à Barcelone et Athènes, à Calcutta et Melbourne mais particulièrement à Tel Aviv où des milliers d’Israéliens sont dans la rue pour exiger la démission de Netanyahou.
La situation en Palestine illégalement occupée et à Gaza est d’une gravité extrême. Israël a entrepris selon les paroles de Benyamin Netanyahou de rayer de la carte ce qui est devenu une prison à ciel ouvert : Gaza. Mais sa folie meurtrière ne s’arrête pas là, il veut en faire de même par la terreur en Cisjordanie, à Jérusalem ou déjà les gangs de l’extrême droite israélienne agressent et tuent tout ce qui est palestinien.
C’est pourquoi nous lançons cet Appel, il y a urgence. Car, en toute impunité un génocide est en cours, celui du peuple palestinien. Il s’agit d’un crime contre l’humanité.
Les médias les plus importants nous imposent une vision unilatérale et monolithique qui s’accompagne d’une répression accrue de toutes les opinions et les analyses qui permettraient de clarifier l’origine des informations et de connaître la vérité. Ils ne permettent pas une compréhension du contexte. Les élites dirigeantes montrent par cela qu’elles paniquent, car il devient clair que l’équilibre mondial est en train d’évoluer et que les Palestiniens jouent un rôle important dans ce retournement. Le temps est venu de se dresser pour dire non à cette terreur psychologique et exiger notre droit à une information équilibrée et véritablement pluraliste !
Ayons le courage de voir la vérité en face !
La nation palestinienne est maintenue en otage quotidiennement depuis 75 ans en violation de la Charte des Nations Unies, de la loi internationale, y compris la Déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux, adoptée par les Nations-Unies en 1960.
Elle s’est vue voler la terre qu’elle occupait depuis des générations et des générations. Elle a vu ses villages, ses maisons détruites afin que des colons extrémistes puissent les chasser et s’accaparer de leurs biens. Elle est une nation spoliée, humiliée, persécutée avec perversité. La nation palestinienne s’est vue imposer un apartheid et un racisme sans limites par un Etat qui emprisonne plus de 5 000 Palestiniens dont des enfants maintenus depuis des années derrière des barreaux, la plupart sans procès ni avocats. Elle représente un peuple à qui l’on interdit de prier dans ses lieux saints que la soldatesque israélienne vient régulièrement souiller. Elle est un peuple qui veut vivre de son travail dans la dignité mais que l’on exploite et abuse de manière éhontée. Elle est un peuple que l’on torture, assassine de sang froid et que l’on massacre de manière méthodique. Elle est un peuple sous des bombardements incessants, y compris de bombes au phosphore. Depuis le 7 octobre, Israël refuse à la population martyre à Gaza, l’eau la contraignant à boire de l’eau de mer, l’électricité, le fuel, les produits alimentaires et ceux pour soigner des milliers de blessés tout en renforçant un blocus appliqué en 2005 puis de façon permanente depuis 2007 en violation du droit international, mais en réalité depuis le début des années 1990, selon les documents officiels de l’OCHA, une des institutions des Nations Unies.
La barbarie du régime extrémiste de Netanyahou comme des dirigeants précédents d’Israël semble sans aucune limite. Lui et son gouvernement corrompu portent la responsabilité de cette tragédie. Netanyahou est arrivé à un tel point de cruauté et de folie sanguinaire qu’il affirme vouloir éliminer tous les Palestiniens qui aux yeux de son Ministre de la Défense ne seraient « plus des humains mais des animaux ». Les bourreaux du peuple palestinien semblent avoir fait le choix d’une solution finale afin d’en finir avec la nation Palestinienne qui à leurs yeux est une nation de trop.
A Gaza, délibérément et significativement le premier immeuble bombardé fut celui qui abritait la presse internationale, Israël a depuis tué et blessé plusieurs journalistes, il s’en est pris aux institutions des Nations Unies chargé de l’aide aux réfugiés palestiniens, depuis on vise indifféremment les hôpitaux, les ambulances, les écoles, les lieux de culte, ce qui sont autant de crimes contre l’humanité. On meurt à Gaza et en Cisjordanie dans le silence coupable des médias occidentaux, des experts de plateau, de cliques politiciennes et de cette camarilla hypocrite qui cherche à se rassurer par ses mensonges, « toute honte bue ». Cette duplicité des « élites » qu’elles que soient leurs familles politiques de « gauche » comme de droite, ou d’extrême droite, unis dans cette « union sacrée » de bien triste mémoire est devenue insupportable d’hypocrisie.
Netanyahou assassine, car il bénéficie du « soutien inconditionnel » des Etats-Unis, de l’Union européenne comme de la France. Alors que la situation sanitaire à Gaza tourne au cauchemar et fait craindre le pire, il est significatif que le premier geste de Washington a été d’expédier face au Liban le plus grand porte avions de sa marine de guerre et des cargaisons d’armements pour une des armées les mieux équipée au monde, qui de surcroit dispose de l’arme nucléaire acquise en violation des règles établies par le système international.
Dans le narratif officiel des EU et de leurs alliés, l’agresseur serait l’agressé, et l’agressé serait l’agresseur. C’est intolérable, mais c’est avec de tels mensonges et avec l’aide des médias que l’on fait régner un véritable climat d’hystérie en France et ailleurs. Cela permet de justifier de nouvelles directives liberticides puisque selon le Ministre de la justice d’Emmanuel Macron, il faut criminaliser l’action de ceux qui critiquent Israël et condamnent ses exactions, appellent au boycott des produits israéliens comme ce fut pourtant le cas contre l’apartheid en Afrique du Sud, contre ceux qui s’expriment librement au sein de séminaires universitaires. Faire preuve de compassion et de solidarité vis-à-vis des victimes civiles qu’elles soient palestiniennes ou israéliennes serait dorénavant assimilée à un soutien au terrorisme, et à l’antisémitisme. Cela serait passible d’arrestations, de lourdes peines de prison, de procès, d’expulsions hors du territoire, ce qui est déjà le cas et même d’interdictions de partis politiques représentatifs, y compris la levée de l’immunité parlementaire pour des élus. Ainsi, les manifestations de solidarité avec les Palestiniens sont interdites et réprimés violemment, des arrestations arbitraires ont lieu. Cette intolérance va jusqu’à des menaces de mort à l’égard de parlementaires coupables d’une expression non conforme à cette pensée unique que l’on entend imposer par la contrainte. Dans son intervention Emmanuel Macron à ainsi pratiqué avec cynisme « un deux poids deux mesures » scandaleux sans un seul mot de compassion pour les habitants de Gaza, de Cisjordanie et de Jérusalem pour mieux s’aligner sur les donneurs d’ordres de Washington !
Les médias imposent une interprétation caricaturale orientée dans le sens exclusif des intérêts d’Israël. Toute parole différente est interdite et stigmatisée comme un soutien au terrorisme. Ceci avec l’objectif de masquer la responsabilité et le rôle des Etats-Unis, de leurs vassaux européens en particulier de la France pour contrecarrer l’application des résolutions des Nations Unies concernant la libération de la Palestine. Pourquoi hier a-t-il été possible de décoloniser plus de 80 pays, en Afrique, en Asie et Amérique Latine et pourquoi serait-il impossible aujourd’hui de décoloniser la Palestine, de lui refuser l’application du principe inaliénable inscrit dans la Charte des Nations Unies : de l’égalité des peuples et leurs droits à l’autodétermination considéré comme un principe fondamental et une précondition pour satisfaire la satisfaction de tous les droits humains ?
C’est pourquoi nous appelons à une nécessaire prise de conscience face à la gravité d’une situation qui peut provoquer un nouvel embrasement au Proche Orient. Les EU et Israël avec l’appui de leurs alliés ne cachent pas leur intention de porter la guerre au Liban, en Syrie et tout particulièrement en Iran. Dans cette région du monde qui fût l’un des berceaux de l’humanité, là où la civilisation méditerranéenne est née, Washington et Tel-Aviv multiplient les provocations. Les EU ont déjà transféré une partie de leur armada face à Beyrouth, quant à Israël, elle a bombardé Damas, Alep et le sud du Liban. Cette extension de la guerre entraînera une confrontation généralisée. Il faut l’aveuglement sectaire d’Israël et des Etats-Unis pour croire un seul instant que les nations arabes de la région pourraient demeurer indifférentes.
Ce sont toujours les peuples qui payent les conséquences en conditions de vie et de travail mais aussi en termes de libertés d’expression, de droit à manifester et à s’organiser. C’est d’ailleurs l’expérience que font concrètement les peuples en France et en Europe tout particulièrement avec le prix qu’ils doivent payer pour poursuivre la guerre en Ukraine.
Il importe de tout faire pour favoriser le libre débat, l’échange et le partage. Il faut exiger une véritable implication de la France pour faire pression sur Netanyahou afin qu’Israël respecte et applique les 50 résolutions approuvées par l’Assemblée Générale et le Conseil de Sécurité de l’ONU. Aujourd’hui Israël est un état hors la loi, ce qui suppose d’en tirer les conséquences politiques de manière claire. Assez d’incantations de la part des Nations-Unies ou des pays occidentaux ! De plus grandes mobilisations doivent permettre de faire pression sur les gouvernements pour les contraindre à agir.
L’urgence est de mettre fin aux bombardements, à la poursuite des exactions à l’égard des Palestiniens, aux massacres qu’Israël veut appliquer à tout un peuple qui vient de rappeler son existence par sa résistance héroïque après des années de blocus, de terreur et d’humiliations. Seuls la reconnaissance des droits inaliénables de la nation palestinienne à l’indépendance, à l’intégrité territoriale, à la souveraineté sans interférence extérieure pourra permettre de contribuer à la cause universelle de la paix, de la coopération internationale que prévoit la Charte des Nations Unies. Cela suppose le respect de la liberté d’opinion et d’expression inscrit dans les instruments juridiques internationaux relatifs aux droits de l’homme.
Nul ne peut ignorer ce que l’on doit à la résistance palestinienne dans son ensemble et au peuple palestinien en particulier pour avoir fait preuve depuis tant d’années de courage, d’abnégations et par dessus tout de sacrifices ! Un peuple qui refuse de vivre à genoux finit toujours par vaincre, car sa souveraineté est un principe qui n’est pas négociable. C’est pourquoi ce principe est partagé par tous ceux dans le monde qui aujourd’hui ont fait le choix de s’émanciper des tutelles néocoloniales, des recolonisations, de l’occupation étrangère, des pillages, des prédations, de la violence, des intolérances et des guerres. Le peuple palestinien par sa lutte participe à ce grand mouvement des nations pour leur libération nationale et leur émancipation.
Dans la résolution des Nations-Unies sur le droit à l’autodétermination des Palestiniens, il est affirmé « la lutte que les peuples mènent pour assurer leur indépendance, leur intégrité territoriale, leur unité nationale et pour se libérer de la domination, de l’apartheid et de l’occupation étrangère justifie l’usage de tous les moyens à leur disposition, y compris la lutte armée. »
Nous sommes à leurs côtés !
Premiers signataires :
• Jean-Pierre Page : Syndicaliste, ancien Responsable du Département International de la Confédération Générale du Travail (CGT)
• Bruno Drweski : Professeur des Universités, militant de l’Association Nationale des Communistes (ANC) et de l’Association républicaine des anciens combattants (ARAC)
• Tamara Kunanayakam : ancienne Ambassadrice et Représentante Permanente auprès des Nations Unies
• Hassan Hamdan : Sociologue (Liban)
• Michel Collon : Journaliste, écrivain (Belgique)
• Charles Hoareau : Président de l’Association Nationale des Communistes (ANC)
• Maxime Vivas : ancien référent d’ATTAC, essayiste, administrateur du site Le Grand Soir
• Robert Zimmer : Retraité, syndicaliste de la CGT, militant anticolonialiste
• Quim Boix : Secrétaire général de l’Union Internationale des pensionnés et retraités de la FSM (Espagne)
• Boris Differ : Doctorant en Histoire contemporaine, Université Bordeaux Montaigne
• Albert Ettinger : Ecrivain, Professeur retraité de l’enseignement secondaire et supérieur (Luxembourg)
• Saïd Bouamama : Sociologue, militant du Front Uni des immigrations et des quartiers populaires
• Danielle Riva : Rédaction Utopie-Critique
• Bernard Gerbier : Professeur des Universités retraité
• Virginia Fontes : Historienne (Brésil)
• Philippe Cordat : syndicaliste de la CGT
• Mohamed Ben Yakhlef : syndicaliste, militant de la CGT et de La France Insoumise (LFI)
• Odette Auzende : Maître de conférences en retraite, militante de l’ARAC
• Dragan Pavlovic : Professeur des Universités retraité
• Olivier Rubens : syndicaliste, essayiste,
• Philippe Gendrault : Psychologue-psychanalyste
• Armelle Bruant : syndicaliste CGT
• Joel Gauvin : syndicaliste CGT
• Jean Pénichon : membre du bureau national de l’ANC
• Ghada El Yafi : Médecin
• André Lacroix : enseignant, syndicaliste militant anti pensée unique (Belgique)
• Roberto Frande : syndicaliste CGT retraité Air Liquide
• Thérese de Ruyt : enseignante retraitée, alphabétisation de primo-arrivants dont des Palestiniens (Belgique)
• Marc Vandepitte : Philosophe
• Walid Sadaoui : militant anticolonialiste
• Nines Maestro : Médecin, militante de la Coordinacion de Nucleos Communistas (Espagne)
• Emir Saber : Philosophe, sociologue (Brésil)
• Louis Dilasser : syndicaliste CGT
• Marie-Anne Toulouse-Noujaim : Avocat honoraire
• Bernard Gensane : Professeur des Universités (retraité), administrateur du site Le Grand Soir
• Jean-Marie Bourget : journaliste
• Alain Borg : syndicaliste CGT
• Laura Marks : Professeur à Grant Strate University, Fellow de la Société Royale du Canada (Canada)
• Givaldino Manoel da Silva-Giva : militante de la cause indigène (Brésil)
• Fayez Hoche : Médecin
• Nicole Sainz : syndicaliste Sud Solidaire-ANC31
• Jean-Pierre Robert : administrateur du site Palestine-Solidarité
• Dominique Bathion : syndicaliste Sud-Solidaire, militante ANC31
• Alain Chancogne : retraité, militant ANC
• Claude Gaucherand : Contre-amiral (2S) (O.L.H)
• Jean-Pierre Lasserre : retraité, militant ANC/LFI
• Nicole Lasserre : retraitée
• Dimitri Konstantakopoulos : éditeur en chef de Defend Democracy Press ( Grèce)
• Roger Akl : ancien officier de la marine libanaise (Liban)
• Badr Zeinoun :
• Pierre Bertoux : syndicaliste CGT, militant de l’ANC
• Abdenour Benmansour : Directeur de recherche retraité
• Catherine Chatard :
• Victoire Bech : syndicaliste CGT, militante ANC
• Ana Bazac : Professeur à l’Université Polytechnique de Bucarest (Roumanie)
• Issa Sacko : Professeur titulaire Université des Sciences Sociales et de Gestion, Bamako (Mali)
• Jean-Pierre Garnier : sociologue et urbaniste libertaire
• Bernard Guilleron : urbaniste, syndicaliste CGT , militant du Parti Communiste Français
• Régis de Castelnau : avocat honoraire
• Ali Ismaïl : militant de l’Union des Patriotes Syriens en France
• Yves Vargas : philosophe, écrivain
• Halima Sadki : enseignante de langues
• Nicolas Janny : professeur du secondaire
• Abdallah Namman : diplomate, écrivain (Liban)
• Gilles Munier : journaliste indépendant, écrivain
• Gabriel Casadesus : infirmier militant PRCF
• Khaled Abdelafiz : écrivain Palestinien
• Alain Rondeau : dessinateur industriel, syndicaliste
• Pascal Raimbault : retraité employé de la presse, ami de la résistance
• Karl Grünberg : animateur de l’Association contre le racisme ACCOR- SOS Racisme
• Aldjia Moulai : militante féministe antiraciste
• Lucio Flavio de Almeida : rédacteur de la revue Lutas Socias (Bresil)
• Renata Gonçalvez : professeur Universidade Federal de Sao Paulo (Bresil)
• Sylvie Bertuit : syndicaliste CGT
• Julio Gambina : Professeur d’Université, Président de la Fundacion de Investigaciones Sociales y Politicas ( Argentine)
• Mikael Nowicki : ouvrier polonais, petit-fils de Kazimierz Nowicki prisonnier au K.L d’Auschwitz et au KL de Buchenwald
• Laurent Faivre : militant ANC 13
• Etienne Coste : syndicaliste, militant de la CGT
• Hasan Ismail : linguiste (Liban)
• Jacqueline Lavy : enseignante retraitée, militante CGT, collectif 74 pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah
• Philippe Laure : syndicaliste CGT
• Hélene Gressin : retraitée de l’éducation nationale
• Mountaha Abs : Géographe (Liban)
• Smygol Dorphy : indépendant au cinéma, Liège (Belgique)
• Monique Lambert : retraitée Education Nationale
• Bassam Elhachem : philosophe (Liban)
• Elias Mattar : Sociologue (Liban)
• Cherif Chamseddine : démographe (Liban)
• Isabelle Fouquay : Professeur agrégée, retraitée
• Berthe Poggiale Avidor : retraitée
• Didier Frassin : syndicaliste, militant CGT
• Fouad Khalil : sociologue (Liban)
• Castro Abdallah : Président de la Fédération Syndicale des Travailleurs (Liban)
• Abdo Khater :
• André Fadda : syndicaliste CGT
• Majed Nehmé : directeur du magazine 2A magazine, magazine des Non Alignés
• Peter Dontzow : syndicaliste CGT, défenseur des sans papiers
• Jean-Claude Lacombe : cheminot, syndicaliste CGT
• John Catalinotto : rédacteur en chef de Workers Wold (USA)
• Jérémie Ozog : enseignant de sciences économiques et sociales, militant de la CGT et du PRCF
• Yannna Semrani : historienne (Liban)
• Christian Lourdin : militant du Parti Communiste des USA
• Antoine Lourdin : camionneur, militant des Teamsters (USA)
• Halbo Kool : écrivain, artiste peintre
• Georges Latrive : responsable d’une radio associative
• Kamal Hamdan : économiste, Directeur exécutif du Consultation and Research Institute (Liban)
• Georges Chapuis : syndicaliste CGT, retraité
• Marie-Jeanne Vilette : enseignante, syndicaliste et militante du PCF et de l’Association France Palestine Solidarité
• Dominique Vastelle : enseignante à la retraite
• Ghassan Diba : économiste (Liban)
• Vivien Guarino : éditeur (Editions Critiques)
• Nazir Jahel : anthropologue (Liban)
• Jean-Pierre Richaudeau : militant de la Fédération Syndicale Unitaire
• Moussawi Ali : sociologue (Liban)
• Maria Elena Saludas : militante ATTAC (Argentine)
• Alain Duray : Observatoire des Libertés publiques(Maurice Rajus)
• Patrick Biondi : syndicaliste CGT
• Murad Akacilar : militant internationaliste (Liban)
• Rita Awn : artiste visuelle (Liban)
• Farid Jabbour : Professeur de droit, écrivain (Liban)
• Lynda Husseyni : Ligue des professeurs retraités de l’Université Libanaise
• Hasan Mnaymneh : ancien Ministre, ancien secrétaire général du Comité des professeurs de l’Unversité Libanaise (Liban)
• Faycal Jalloul : Chercheur spécialiste du Moyen Orient
• Bernard Barré : membre du Conseil Politique régional Auvergne- Rhône-Alpes
• Ali Rastbeen : Président de l’Académie Géopolitique de Paris
• Michel Raimbaud : ancien diplomate, écrivain
• Luis Alberto Sanchi : chercheur CNRS-Paris
• Ismail Ali : Union des patriotes Syriens en France
• Jean Bricmont : Physicien retraité (Belgique)
• Jean Chambon : retraité, militant pacifiste
• Jean-Claude Lacombe : syndicaliste de la CGT
• Bernadette Feyereisen : citoyenne
• Elisabeth Martens : enseignante, Sinologue, administratrice de Tibetdoc.org et Chine-Ecologie.org
• Pierre Lenormand : géographe, retraité, ANC
• Laurent de Wangen. Enseignant, militant de l’Association France Palestine Solidarité
• Johan Hoebeke : Directeur de recherches au CNRS, retraité
• Yves Alexis : syndicaliste FNPOS-CGT
Signatures à adresser à Jean-Pierre Page : jean.pierre.page@gmail.com