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Quand le géant du nucléaire japonais cachait des incidents ....
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Pour dissimuler des incidents dans ses centrales, Tepco, qui exploite un tiers des centrales japonaises, avait falsifié des documents.
De la fin des années 1980 aux années 1990, Tepco (Tokyo Power Electric Company), le géant japonais, premier producteur mondial privé d'électricité, avait falsifié une trentaine de rapports d'inspection de réacteurs nucléaires. Au Japon, Tepco a en charge le tiers des réacteurs nucléaires, dont ceux de Daiichi et Daini à Fukushima.
Le 29 août 2002, l'agence de sûreté nucléaire industrielle japonaise (Nuclear Industrial Safety Agency) révélait à une opinion publique scandalisée l'ampleur de la fraude. Cette falsification de documents avait pour objectif de couvrir au moins trois incidents dans les centrales de Fukushima et de Kashiwazaki-Kariwa (préfecture de Niigata, au nord, à 200 km de Tokyo). Ces pratiques s'étaient parfois poursuivies pendant vingt-cinq ans, et le nombre total d'événements est estimé à 200. Suite à ce scandale, Tepco décida d'arrêter 7 de ses 17 réacteurs nucléaires pour inspection en octobre 2002. En avril 2007, un autre exploitant japonais, Hokuriku Electric, avait avoué un incident sur son réacteur à eau bouillante de Shika, incident qu'il avait caché pendant huit ans.




