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La CGT appelle à la grève le 4 novembre dans les transports
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Figaro) Le syndicat appelle les salariés des transports à une mobilisation nationale le 4 novembre pour la défense du service public et contre le «dumping social». Des rassemblements seront organisés dans plusieurs villes de France, dont Paris.
La journée de mobilisation devrait avoir un impact sur laSNCF, les transports urbains (tramway, métro, RER), le maritime, l'aérien et l'aéroportuaire, le fluvial et les routes, selon l'Union Interfédérale des Transports, qui regroupe les sections CGT du secteur, à l'origine du mouvement. La fédération CGT des Services publics, qui s'est jointe au mouvement, a déposé un préavis de grève ce même jour. Des rassemblements seront organisés dans plusieurs villes de France, dont Paris.
A cause de la politique de «privatisation» et de «mise en concession» menée dans le secteur des transports, «c'est l'usager qui est le perdant car cette logique du ‘bas coût' assure un service dégradé», écrit la CGT-Cheminots dans un communiqué. «Ces orientations remettent bien souvent en cause la sécurité dans les transports», selon le syndicat, qui «exige l'arrêt des politiques qui cassent les emplois, les conditions sociales des salariés et qui menacent l'avenir du service public».
Inquiétude après l'abandon de l'écotaxe
La CGT entend dénoncer la réforme ferroviaire «qui fragilise - encore plus - l'entreprise nationale SNCF» avec «des fermetures de lignes, (...) de centaines de guichets et des suppressions de contrôleurs sur les TER». Dans le viseur du syndicat, également, le projet gouvernemental de libéralisation du transport interrégional par autocar, suspectée d'entraîner une mise «en concurrence avec les trains, au risque de supprimer certaines dessertes». Pour la fédération, «la course du patronat contre le ‘coût du travail' entraîne un dumping social en général et particulièrement agressif à l'encontre des salariés des transports».
En outre, la CGT s'inquiète de «l'abandon définitif de l'écotaxe», qui «va avoir de lourdes conséquences sur le financement des infrastructures, déjà mis à mal depuis le désengagement de l'État (...) et conduire à de nouvelles privatisations et concessions de routes nationales, devenant... payantes!».
La CGT-Transports espère que la journée du 4 novembre pèsera «sur le contenu et les décisions de la prochaine Conférence Environnementale», prévue fin novembre, «durant laquelle se tiendra une table ronde sur les transports».




