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« Ras-le-bol général » pour les salariés d’Otis
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
https://communismeouvrier.wordpress.com/2015/06/07/ras-le-bol-general-pour-les-salaries-dotis/
L’Humanité, 7 juin 2015 :
4 900 salariés d’Otis sont appelés à la grève à partir de ce lundi 8 juin par l’ensemble des organisations syndicales.
L’ensemble des syndicats d’Otis (CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC), numéro 1 de l’ascenseur et qui en gère 160 000 en France, appelle à la grève illimitée à partir de lundi 8 juin. L’arrêt de toute activité a déjà commencé vendredi soir pour les salariés d’astreinte en province, et dimanche pour ceux de Paris. L’entreprise avait annoncé fin 2014 un plan social prévoyant la suppression de 170 employés (sur 4 900 en tout), mais la goutte de trop a été une augmentation de 0% lors des négociations annuelles obligatoires de février, la direction la justifiant par une diminution du chiffre d’affaires.
Toutes les catégories seront représentés dans le mouvement
«La coupe est pleine et le ras-le-bol général », confie la CGT. Outre les salaires, les syndicats dénoncent l’augmentation des cadences et les dégradations des conditions de travail. A l’instar, « des techniciens qui ont vu passer leur parc de 110 ascenseurs à 180 en quelques années, ce qui a augmenté la fatigue mais aussi le manque de maintenance », affirme la CGT. Fait exceptionnel, toutes les catégories (ouvriers, agents de maîtrise, cadres, assistants et cadres) seront représentés dans le mouvement. « Le personnel administratif n’est pas épargné, l’organisation au jour le jour les oblige à être toujours en état d’urgence. Ils doivent en plus gérer un mécontentement des clients de plus en plus fréquent ». Otis, qui est une filiale du groupe américain United Technologies Corporation, avait déjà connu une grève, pour les mêmes motifs en 2011, pendant neufs jours.
Lundi, des rassemblements sont prévus à Marseille, Toulouse, Lyon, Bordeaux et d’autres villes ainsi qu’à Paris devant le siège d’Otis, à la Défense.