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Château-Arnoux/Saint-Auban : mouvement de grève à l’ADAPEI 04
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Haute Provence Info, 1er juillet 2015 :
Mardi 30 juin, un mouvement de grève a été lancé par le syndicat CGT ADAPEI 04, sur le site de Château-Arnoux/Saint-Auban, avec pour revendications, selon le délégué syndical Wilfried Buschendorf, de « respecter la liberté d’expression chez les travailleurs », « respecter le dialogue social », « demander la réintégration immédiate d’un salarié protégé suite à une mise à pied conservatoire », « un arrêt immédiat de tout abus autoritaire de la part de la direction du pôle d’hébergement ».

Aussi les représentants des syndicats de la région (CGT Arkéma, Sanofi), accompagnés par Alain Bard secrétaire général de l’union départementale 04 sont venus soutenir les employés de l’ADAPEI (association départementale des parents et amis de personnes handicapées mentales des Alpes-de-Haute-Provence). En effet, le délégué du personnel faisant objet d’une mesure de mise à pied conservatoire était reçu mardi matin (accompagné de Wilfried Buschendorf) par la directrice de l’établissement Nora Bouhassane pour un entretien préalable à la sanction.
Depuis le début de l’année, une procédure a été lancée à l’encontre de ce délégué du personnel à qui il est reproché d’avoir été insultant envers son directeur d’hébergement avec lequel il est en conflit pour un projet éducatif. Les délégués CGT reprochant quant à eux, la rupture du dialogue social entre les salariés et la direction et craignent que la procédure aboutisse à un licenciement. La direction n’a pas souhaité s’exprimer sur le sujet, mais une note aux salariés précise que «la grève doit reposer sur des revendications professionnelles s’inscrivant dans un cadre collectif, et que la défense d’un cas personnel pouvait se trouver illicite, en outre, la direction soucieuse de s’inscrire dans une démarche de dialogue social invite les délégués syndicaux à une réunion le 17 juillet 2015 en vue de l’élaboration d’une charte du dialogue social afin de réfléchir à des pistes de dialogue au sein des structures».
La procédure n’ayant pas été suspendue suite à l’entretien, reste à savoir quelle suite sera donnée au mouvement.




