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La part des chômeurs retrouvant un emploi a continué de fondre en 2014
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
A peine quatre sorties de Pôle emploi sur dix se font désormais via une reprise d’emploi.
L’étude pourrait apporter de l’eau au moulin de la Cour des comptes, qui vient de pointer du doigt dans un rapport le manque d’efficacité de Pôle emploi . Selon une étude publiée jeudi par le ministère du Travail, le taux de sortie des listes de Pôle emploi pour reprise d’emploi, c’est-à-dire la part des chômeurs retrouvant chaque mois du travail, a poursuivi sa chute en 2014, pour tomber à 3,4 %. C’est 0,5 point de moins que fin 2013 et un point bas historique. Avant la crise, fin 2008, ce taux avoisinait 5 % et sa chute a été quasi ininterrompue depuis, ce qui explique en partie la hausse continue, dans le même temps, du chômage de longue durée. C’est un nouveau signe, si besoin était, que les recrutements ont particulièrement tourné au ralenti ces dernières années. De la même manière, la part des reprises d’emploi dans les motifs de sortie des listes de Pôle emploi a elle aussi poursuivi son recul, pour tomber à 41,2 %, contre 44,2 % fin 2013 et quelque 50 % en 2007. C’est là aussi un point bas historique.
Efforts de formation
Parmi les autres motifs de sortie, on note une poussée des entrées en formation, qui témoigne des efforts produits en la matière l’an passé, dans le cadre des plans en faveur des seniors et des chômeurs de longue durée notamment. A noter également, parmi les 450.000 à 500.000 sorties de Pôle emploi chaque mois, près d’une sur cinq est en fait artificielle : 18 % correspondent à des chômeurs oubliant d’actualiser leur situation mensuelle et sont suivies d’une réinscription dans la foulée. Seul point positif, parmi les sortants, 68 % ont accédé à un emploi durable (CDI dans un cas sur deux, CDD de plus de six mois ou mise à son compte pour les autres), une part en hausse de 1,6 point en un an. Les trois quarts de ces emplois sont à temps plein et 83 % de leurs bénéficiaires étaient encore en poste trois mois après leur sortie de Pôle emploi.
Si le taux de sortie est désormais le même pour les hommes et les femmes, il varie fortement selon l’âge et la durée d’inscription au chômage. Il atteint 5,7 % avant 25 ans, 3,5 % de 25 à 49 ans et 1,5 % au-delà, signe que le marché reste particulièrement difficile pour les seniors. Les chômeurs de longue durée pâtissent, eux, d’un niveau de qualification souvent moindre et de la perte d’employabilité liée à une inactivité durable : le taux de sortie est de 4,5 % la première année de chômage, et tombe à 2,1 % ensuite.