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Quatre syndicats appellent à une grève du personnel de la Ville de Rouen
Les brèves publiées dans cette rubrique « Informations et analyses » le sont à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
ROUEN (NORMANDIE). Les syndicats CFDT, CGT, FO et Sud de la Ville de Rouen ont déposé un nouveau préavis de grève pour l’ensemble du personnel de la Ville le jeudi 17 septembre. Ce préavis fait suite au mouvement du 20 au 22 juin de cette année et porte pour revendication principale la souffrance au travail. Les syndicats dénoncent « la réduction des effectifs » et « le non-renouvellement des contrats à durée déterminée et des contrats précaires », la « désorganisation et la détérioration des conditions de travail, le manque de moyens », une « problématique forte du management », ainsi que la perte du pouvoir d’achat des agents.
A cela s’ajoutent d’autres revendications qui portent, entre autres, sur « la gratuité des titres de transport comme à la Métropole et un coût modéré du stationnement du personnel municipal dans les parkings de la ville, le titre repas à 7,30 euros à parité avec la Métropole, l’égalité de la rémunération des heures supplémentaires comme à la Métropole », ou encore la revalorisation du régime indemnitaire pour l’ensemble des services municipaux et du CCAS (Centre communal d’action sociale).
Dans une lettre ouverte diffusée ce dimanche, les syndicats rappellent que du 20 au 22 juin, « près de 1 500 agents municipaux se sont mis en grève ». « Cette très forte mobilisation n’est évidemment pas le fruit du hasard. Elle démontre le mal-être croissant du personnel et la dégradation des conditions de travail. Si grâce à cette action, un certain nombre de nos collègues qui devaient voir la fin de leur contrat en juin, ont pu être réintégrés, les autres problèmes persistent ».
S’adressant au grand public, les syndicats expliquent que « si nous sommes de nouveau en grève aujourd’hui, ce n’est pas pour vous ‘embêter’, mais bien pour nous faire entendre auprès du maire et de son équipe municipale, afin de retrouver de bonnes conditions de travail nécessaires l’accomplissement des missions citoyennes de service public ».
En juin dernier, durant le conflit, Olivier Mouret, adjoint au maire en charge du personnel, s’était exprimé sur le conflit et avait donné son sentiment : « Il y a deux aspects à prendre en compte. D’abord un contexte général d’inquiétude et de peur. Les baisses de dotations de l’État, les difficultés que traverse notre pays, créent un climat d’incertitude qui peut faire craindre que demain sera pire. Pour beaucoup, la confiance en l’avenir est rompue et certains n’hésitent pas, en prime, à jeter de l’huile sur le feu. Nous avons donc le devoir de rassurer le personnel et éviter tous les fantasmes. D’autre part, notre collectivité a connu en peu de temps deux réorganisations. La première, lors du précédent mandat, avec la fusion de différents services [notamment la création de la DEPN, Direction des espaces publics et naturels, regroupant voirie, propreté et espaces verts, NDLR]. Et la seconde, liée à la création des Métropoles, avec une fois encore des modifications dans les services qui ont pu être déstabilisés. C’est beaucoup, surtout que la seconde a été faite dans l’urgence. Il nous a sans doute manqué un peu de temps. À cela s’est ajoutée la réforme des rythmes scolaires, qu’il a aussi fallu gérer avec de nombreux recrutements au sein de la Direction des temps de l’enfant (DTE), absorbés en peu de temps ».