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Grève du contrôle aérien: 40% au total de vols supprimés sur Orly mardi
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
La Direction générale de l'aviation civile (DGAC) a indiqué mardi avoir demandé à la mi-journée aux compagnies aériennes de supprimer 20% de plus de vols sur Orly en raison de la grève de personnels du contrôle aérien, portant à 40% le nombre global de vols annulés.
Au total, 240 vols au départ et à l'arrivée de l'aéroport parisien vont être annulés pour la journée de mardi, selon un porte-parole de la DGAC, qui invite les passagers à se rapprocher de leurs compagnies aériennes.
En prévision des perturbations, la DGAC avait demandé dès lundi soir aux compagnies de restreindre une partie de leurs programmes, et celles-ci avaient prévenu par SMS ou mail les passagers. Au vu du taux de grévistes, elle a demandé à la mi-journée aux compagnies de supprimer 20% supplémentaires de leurs vols pour le restant de la journée.
Conformément à la loi de 1984 sur le service minimum, des réquisitions de contrôleurs aériens ont lieu mais dans seulement 17 des plus gros aéroports du territoires.
Certaines plateformes n'y sont pas soumises, comme c'est le cas pour les aéroports de Pau et Rouen, qui restaient fermés mardi après-midi alors que l'activité avait repris sur celui d'Angoulême.
Aux annulations de vols s'ajoutent des perturbations dans les centres en route de navigation (l'un des trois niveaux de contrôle de la navigation aérienne), comme celui du sud-est, qui fonctionne en service minimum mardi. D'où de gros retards en début d'après-midi: près de deux heures à Orly, une heure et demi à Marseille, une heure à Bordeaux, Lyon et Nice, selon la DGAC.
La CGT, la CFDT et l'Unsa de l'aviation civile ont déposé un préavis de grève pour lundi et mardi, afin de s'opposer à un plan de restructuration des services de contrôle aérien de province, qui impliquerait à terme une diminution des effectifs.
Les syndicats dénoncent la suppression de 200 postes par an depuis trois ans dans le cadre de la Révision générale des politiques publiques (RGPP) qui se traduit par le non-renouvellement d'un fonctionnaire partant à la retraite sur deux.