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Martinez prédit une mobilisation "énorme" le 14 juin
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Les Echos) Le leader de la CGT Philippe Martinez a prédit samedi à Martigues (Bouches-du-Rhône) une mobilisation "énorme" contre le projet de loi réformant le droit du travail mardi à Paris.
Le leader de la CGT Philippe Martinez a prédit samedi à Martigues (Bouches-du-Rhône) une mobilisation "énorme" contre le projet de loi réformant le droit du travail mardi à Paris.
"Ca va être énorme", a-t-il commenté lors d'un meeting sur le site pétrochimique de Lavéra à Martigues, en présence de quelque 200 personnes. A ceux qui "spéculent" sur la démobilisation, a poursuivi P. Martinez, "nous allons faire la démonstration [du contraire] le 14 juin avec une mobilisation comme nous n'en avons jamais connue depuis quatre mois".
"Nous avons recensé en région parisienne plus de 450 cars qui vont venir sur Paris", a-t-il dit, même s'il est "difficile d'avoir des cars en ce moment (...) parce que le patronat est soudé".
P. Martinez avait dit auparavant, dans une interview au Parisien, espérer rassembler plus de monde mardi à Paris que le 31 mars, journée de manifestations qui avait rassemblé près de 390.000 personnes dans 250 villes, selon les autorités, 1,2 million selon les organisateurs.
Mardi une journée de mobilisation nationale contre le projet de loi travail, avec un défilé unique à Paris, est organisé à l'appel de sept syndicats dont la CGT.
A Martigues, P. Martinez a redit devant la presse qu'il était "disponible" pour rencontrer la ministre du Travail Myriam El Khomri "dès ce soir ou dès demain", si "elle veut avancer" le rendez-vous fixé le 17 juin. "Elle a fixé un rendez-vous à vendredi, elle connaît mon numéro de portable. Si elle veut l'avancer, je suis tout à fait disponible".
Enfin, interrogé sur le déroulement de l'Euro 2016 qui a débuté vendredi à Paris par le match France-Roumanie, M. Martinez a constaté que "le match d'hier s'était très bien passé". "Le stade était plein, (...) tout le monde a pu venir". "Faire la fête et poursuivre le mouvement social, ça n'est pas paradoxal, ça n'est pas antinomique", a-t-il affirmé.




