Agenda militant
Ailleurs sur le Web
![S’abonner au flux RSS [RSS]](images/rss.jpg)
- Mauritanie : une élection ne fait pas le printemps (01/06)
- Réactualisation de l’époque de "crises, guerres et révolutions" et perspectives pour une gauche révolutionnaire (30/05)
- Le trotskysme, série en 4 épisodes sur France inter (29/05)
- Les femmes et les minorités de genre, en première ligne de la lutte pour nos retraites (29/05)
- Le mépris de classe pour ceux qui ne valent rien : Le dernier livre de Michel Husson (29/05)
- Colère plébéienne contre l’écologie des classes supérieures: le cas hollandais (29/05)
- Qu’est-ce que l’Etat ? (28/05)
- Pierre Salama: Interroger le phénomène économique de l’inflation (28/05)
- François Chesnais (1934-2022) par Jan Malewski (28/05)
- Écosocialisme numérique : briser le pouvoir des Big Tech (28/05)
- Le colonialisme numérique : l’évolution de l’empire états-unien (28/05)
- Entretien avec Michael Roberts: Les banques au bord du gouffre ? (28/05)
- Mise au service des profits, l’inflation se prolonge (28/05)
- Carnets de la Révolution russe, de Nikolaï Soukhanov (28/05)
- Vertbaudet : "La grève, c’est la seule force qu’on a finalement" (28/05)
- "La croissance crée plus de problèmes qu’elle n’en résout" - Olivier de Schutter (28/05)
- Les pauvres responsables de leur sort : une mythologie qui a la vie dure (27/05)
- Grèce. Les élections du 21 mai ont été un «tremblement de terre politique» (27/05)
- Du plan de la CGT à la conquête du pouvoir – Par Léon Trotsky (26/05)
- Grèce : lourde défaite de la gauche plus que jamais divisée (26/05)
- Lordon : Vouloir perdre, vouloir gagner (26/05)
- Pakistan : le spectre de l’embrasement (24/05)
- À Saint-Denis, le lycée Paul Éluard prend l’eau (24/05)
- Hegel, Marx et la science de l’histoire (24/05)
- Victoire de l’extrême droite au Chili : comment en est-on arrivé là ? (24/05)
Liens
- Notre page FaceBook
- Site du NPA
- Démosphère (Paris, IdF)
- Site anti-k.org
- Le blog de Jean-marc B
- CGT Goodyear
- Démocratie Révolutionnaire
- Fraction l'Étincelle
- Anticapitalisme & Révolution
- Révolution Permanente (courant CCR)
- Alternative Communiste Révolutionnaire (site gelé)
- Ex-Groupe CRI
- Librairie «la Brèche»
- Secteur jeune du NPA
- Marxiste.org
- Wiki Rouge, pour la formation communiste révolutionnaire
Quatre des huit lignes de trains de nuit seront supprimées le 1er octobre si aucun repreneur ne se manifeste
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Le secrétaire d'Etat aux Transports Alain Vidalies l'annonce ce jeudi.
Quatre des huit lignes de trains de nuit fermeront le 1er octobre si aucun opérateur privé ne veut les reprendre et que les régions concernées ne les financent pas, annonce dans un communiqué, jeudi 21 juillet, le secrétaire d'Etat aux Transports, Alain Vidalies. Le gouvernement estime que ces quatre lignes "bénéficient d'offres alternatives de mobilité de bon niveau, ou qui vont prochainement s'améliorer avec la mise en service des nouvelles lignes à grande vitesse".
Seront donc supprimées, faute de repreneur, Paris-Toulouse/Rodez-Albi, Paris-Savoie, Luxembourg-Nice/Port-Bou et Strasbourg-Nice/Port-Bou. Les lignes reliant Paris à Tarbes et à Irun (Espagne) et à Nice bénéficieront d'un sursis, respectivement jusqu'en juillet et octobre 2017, tandis que les liaisons Paris-Briançon et Paris-Latour-de-Carol seront maintenues, comme annoncé en février par Alain Vidalies.
Un quart du déficit des Intercités
Cette décision vise à résorber les pertes financières des trains de nuit, qui ne transportent que 3% des voyageurs mais représentent un quart du déficit des Intercités (au moins 400 millions d'euros prévus cette année), soit "plus de 100 euros de subvention publique" par billet vendu, a souligné le secrétaire d'Etat aux Transports lors d'une conférence de presse.
"Je confirme la décision du gouvernement de ne plus financer l'exploitation de ces lignes, mais je reste à l'écoute de toute offre de reprise" ou "de financement tiers, c'est-à-dire par les régions", a déclaré Alain Vidalies, signalant qu'une discussion "est en cours entre la région Occitanie et SNCF Mobilités" au sujet de la liaison Toulouse-Cerbère. Aucun opérateur privé n'a répondu de manière satisfaisante à l'appel à manifestation d'intérêt lancé en avril par le gouvernement pour les six lignes qui ne seront pas conservées.