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Nouvelle traduction du "Capital" (livre I) de Marx

Marx

Lien publiée le 22 novembre 2016

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Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.

http://www.palim-psao.fr/2016/11/nouvelle-traduction-2016-karl-marx-le-capital-livre-i.html

Nouvelle traduction 2016 de Jean-Pierre Lefebvre

Karl Marx

Le Capital. Livre I

Le développement de la production capitaliste

Le 28 novembre dans les bacs

***

  Karl Marx, Le Capital livre I, Le développement de la production capitalistenouvelle édition entièrement revue en 2015 par Jean-Pierre Lefebvre, traduction de la quatrième édition allemande, avec une nouvelle préface sur les choix de traduction 2016., collection Les Essentielles, Éditions sociales, Paris, juin 2016, 148 × 236 mm, 944 pages, 25 €.
ISBN :  978-2-35367-012-3 (à paraître le 28 novembre 2016). 

   Le Capital livre I, Le développement de la production capitaliste, édition Jean-Pierre Lefebvre, publiée en 1983 par les Éditions sociales, traduction de la quatrième édition allemande (1890), est entièrement revue par le traducteur.

   Vous pouvez sur ce site consulter et télécharger le chapitre premier du Capital, vous y trouverez en particulier le fameux passage sur le fétichisme de la marchandise qui commence ainsi :

« A première vue, une marchandise semble une chose tout ordinaire qui se comprend d'elle-même. On constate en l'analysant que c'est une chose extrêmement embrouillée, pleine de subtilités métaphysiques et de lubies théologiques. Tant qu'elle est valeur d'usage, elle ne comporte rien de mystérieux, soit que je la considère du point de vue des propriétés par où elle satisfait des besoins humains, ou du point de vue du travail humain qui la produit et lui confère ainsi ces propriétés. Il tombe sous le sens que l'homme modifie par son activité les formes des matières naturelles d'une façon qui lui est utile. La forme du bois, par exemple, est modifiée quand on en fait une table. La table n'en reste pas moins du bois, chose sensible ordinaire. Mais dès qu'elle entre en scène comme marchandise, elle se transforme en une chose sensible suprasensible. Elle ne tient plus seule­ment debout en ayant les pieds sur terre, mais elle se met sur la tête, face à toutes les autres marchandises, et sort de sa petite tête de bois toute une série de chimères qui nous surprennent plus encore que si, sans rien demander à personne, elle se mettait soudain à danser...»