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Mélenchon quémande des circonscriptions au PS : le risque FN a bon dos !
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Le Figaro) Les négociations entre le Parti socialiste, Europe Ecologie-Les Verts et le Front de gauche sur les législatives sont en situation de "gros blocage" à cause notamment du Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon, a déclaré aujourd'hui David Cormand, chargé des élections à EELV.
Une réunion s'est tenue hier soir au siège du PS rue de Solférino, avec notamment Christophe Borgel, François Lamy (PS), Jean-Vincent Placé, David Cormand (EELV), Lydie Benoît, Michel Laurent (PCF), Martine Billard (Parti de gauche) et un représentant de Gauche unitaire (GU), membre du Front de gauche.
"On est inquiets sur la possibilité d'avoir un gros blocage", "il y a deux chances sur trois pour qu'il n'y ait pas d'accord" avec le FG, a affirmé M. Cormand. "L'objectif est de trouver une solution sur les 55 circonscriptions à risque FN" où la gauche pourrait être éliminée du deuxième tour.
"Il fait des claquettes à Hénin-Beaumont"
Selon lui, le PCF pourrait se retirer sur "15 à 20" circonscriptions mais le PG et GU ne veulent, eux, pas se retirer et refusent que le PCF signe au nom du FG. Le PG juge qu'il n'a "pas assez de circonscriptions gagnables" et en plus de deux places dans le Jura et le Rhône où il n'y a pas de risque FN, ils "demandent celle de Villeneuve-Saint-Georges" (Val-de-Marne), a dit M. Cormand.
Or, M. Mélenchon a toujours dit qu'il ne voulait pas discuter avec le PS hors risque FN et "là, le PG veut négocier sur des circonscriptions où il n'y pas de risque" d'extrême droite et "pendant ce temps-là, il fait des claquettes à Hénin-Beaumont", dénonce le responsable écologiste.
EELV a de son côté accepté de laisser aux communistes la circonscription de Gardanne (Bouches-du-Rhône) où le Front national est haut et celles de Guingamp (Côted-d'Armor) et Bergerac (Dordogne) (où il n'y a pas de risque FN). En échange, le PCF devrait soutenir EELV à Aubagne (Bouches-du-Rhône).
Mais selon M. Cormand, localement, le PCF "n'arrive pas à retirer" son candidat. Pour lui, "la situation est grave, on n'est pas sûr de gagner les législatives. Et virer Nicolas Sarkozy pour avoir Jean-François Copé Premier ministre, on ne voit pas trop à quel jeu ils jouent". Le Front de gauche est de son côté actuellement en réunion, a-t-on appris auprès du PCF.




