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Des centaines de salariés de PSA devant le siège du constructeur
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Les syndicats CGT, CFDT, CFTC, SIA (syndicat maison) et SUD ont appelé les salariés du site de Seine-Saint-Denis à la grève, et, de même que la CFE-CGC et FO, à un rassemblement devant le siège parisien de PSA à 10H30 "contre la casse de l'emploi", alors que se tient un comité de groupe européen.
"Non à la fermeture de PSA Aulnay", dit une banderole placée sur la devanture du siège, situé à deux pas de l'Arc de Triomphe, alors que plusieurs centaines de salariés de différents sites du fabricant français étaient présents (Vesoul, Poissy...), sur fond de musique.
"On est venus en soutien d'Aulnay qui sera certainement le premier site touché, ça peut arriver à tout le monde, on entend que Rennes pourrait être aussi touché, on est quand même aux prémisses d'une grosse restructuration", dit à l'AFP Jean-Paul Guy, responsable CFTC de PSA Vesoul.
"On aimerait avoir une visibilité, sans ça, "ça tend à des rumeurs folles, ce qui met dans une précarité subjective les salariés de tous les sites", estime-t-il.
"Vous avez toutes les données pour que Peugeot annonce fin juillet la fermeture de l'usine d'Aulnay. L'objectif de la manifestation d'aujourd'hui est de faire une démonstration de force", a déclaré pour sa part Jean-Pierre Mercier, délégué syndical CGT, arguant que la direction pourrait annoncer vendredi en comité d'entreprise à Poissy la baisse de cadence de la 208 qui permettrait une montée en puissance de la C3, également fabriquée à Aulnay.
A l'intérieur, le président du directoire Philippe Varin ainsi que Denis Martin, directeur industriel, Claude Brunet DRH, étaient présents.
L'inquiétude grandit autour du site PSA Peugeot Citroën à Aulnay-sous-Bois, les syndicats et les élus locaux craignant l'annonce dès juillet de la fermeture de cet établissement, depuis longtemps menacé, qui emploie encore plus de 3.000 salariés.