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La grève des employés du pétrole plombe la production en mer du Nord
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
"La grève a vraiment un grand impact (...) elle affecte la production de pétrole à hauteur de 10% et celle de gaz à hauteur de 7%", a précisé à l'AFP une porte-parole de l'Association norvégienne de l'industrie pétrolière (OLF), Eli Ane Nedreskaar.
"Cela coûte 200 millions de couronnes (26,5 millions d'euros) par jour", a-t-elle poursuivi.
L'arrêt de la production de pétrole et de gaz sur les champs du groupe norvégien Statoil à Oseberg et Heidrun en mer du Nord, conséquence de la grève, entraîne "une perte quotidienne de quelque 240.000 barils de pétrole et de 11,9 millions de m3 de gaz", a ajouté Mme Nedreskaar.
"Les exportations de pétrole sont affectées (par la grève) mais pas celles de gaz", estime, sans donner de précisions chiffrées, le syndicat Industri Energi, qui rassemble la majorité des employés du pétrole, contacté par l'AFP.
Les partenaires sociaux ont été en contact pendant le week-end mais la situation n'a pas évolué, a regretté la porte-parole de l'OLF, qui espère toutefois que "la grève durera aussi peu de temps que possible".
Selon Industri Energi, "si le gouvernement n'intervient pas, le conflit sera long, (nos) membres sont désireux de faire la grève".
Le syndicat souhaite cependant qu'une solution soit trouvée à travers les négociations avec le patronat sans l'implication du gouvernement. Il n'envisage pas d'étendre la grève mais "restera ferme".
Une porte-parole du ministère du travail a indiqué à l'AFP que le gouvernement "suit le conflit de près", mais qu'il "est inutile pour l'instant de demander une intervention" de l'Etat.
Le mouvement social a débuté le 24 juin après deux jours de négociations salariales qui ont achoppé sur un problème de retraites. Il concerne 708 employés travaillant pour le groupe norvégien Statoil (le seul touché par l'arrêt de la production), la division norvégienne du géant britannique BP et ESS Support Services, détenu par le britannique Compass Group.
La dernière grève des employés du pétrole en Norvège remonte à 2004, elle avait duré une semaine.