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Montpellier: Les «gilets jaunes» refusent de lâcher le rond-point symbole de leur lutte
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
https://m.20minutes.fr/amp/a/2400291
Malgré la période des fêtes et un peu partout en France le démantèlement par les forces de l’ordre, les gilets jaunes refusent de quitter le rond-point des Près d’Arènes à Montpellier, occupé depuis le 17 novembre…
- Moins nombreux physiquement, quelques dizaines de gilets jaunes se relaient encore au rond-point des Près d’Arènes symboles de leur lutte pour « plus d’égalité sociale ».
- Ils sont « fatigués », mais toujours mobilisés. « Tellement de revendications n’ont pas été satisfaites... »
Ils sont encore présents. Moins nombreux qu’au plus fort du mouvement. Mais au rond-point des Près d’Arènes de Montpellier, les gilets jaunes continuent de réclamer « plus d’égalité sociale ». Ils sont encore plusieurs dizaines à se relayer de jour comme de nuit pour occuper ce lieu symbole de la lutte des gilets jaunes dans la septième ville de France.
L’occupation est pacifique depuis plus d’un mois. Dans un geste symbolique pour « nourrir ceux qui ont faim », les « gilets jaunes » y avaient planté des arbres fruitiers offerts par des pépiniéristes solidaires du mouvement. « Les services municipaux les ont arrachés », regrettent-ils, amers. « En revanche, personne ne nous enlèvera les moments incroyables d’échange et de solidarité que l’on a vécus », explique l’un d’entre eux.
Comme Patrick, nombreux sont ceux qui estiment « qu’il y a d’autres façons de s’exprimer », lorsqu’on évoque l’incendie du péage de Bessan. Ici, les forces de l’ordre, à l’inverse de ce qui s’est passé de nombreux ronds-points du Languedoc, n’ont (pour le moment) pas utilisé la force pour les en déloger. « Et c’est aussi à cause de ce "nettoyage" que la présence physique diminue ».
« Les gilets ne sont pas éteints »
Aux Près d’Arènes, rebaptisé place du 17 novembre, les gilets jaunes refusent d’être présentés comme des jusqu’au-boutistes. « Il faut voir le nombre de « merci d’être là pour nous », le nombre de « V » et de pouce levés. Si l’on compte les personnes qui continuent de s’arrêter un instant, et de nous montrer leur soutien, nous sommes quelques milliers par jour au Près d’Arènes. Lorsque toute la journée vous voyez ces scènes, vous ne pouvez pas abandonner, explique Olivier qui ne quittera [s] on gilet jaune que lorsque l’ensemble de la population aura le même poids dans la société. »
« Oui, c’est dur, on est tous fatigués. Et puis il y a les fêtes, les enfants que j’ai un peu délaissés », reconnaît Patrick, moins présent en semaine, mais qui sera là, samedi encore. « Les gilets ne sont pas éteints. La suppression de la CSG pour les retraités, les référendums populaires, la suppression des taxes sur les produits de première nécessité et augmenter celles sur les produits de luxe… Tellement de revendications n’ont pas été satisfaites… »