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Des dizaines de Gilets jaunes mis sur "écoute téléphonique" par le pouvoir
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Un total de 150 Gilets jaunes, dont un tiers pour la seule région parisienne, seraient placés sur écoute par les renseignements, affirme dans son édition de ce jeudi Le Point.
Depuis les premiers jours, et même avant, les renseignements suivent de très près les Gilets jaune. Que ce soit en ligne sur les différentes pages où ils communiquent ou jusque sur les ronds points, les agents français pistent les contestataires, a déjà révélé notamment Le Canard enchaîné. Mais c'est cette fois une étape supplémentaire qui a été franchie, selon Le Point daté de ce jeudi 7: un total de 150 Gilets jaunes seraient ainsi placés sur écoute et littéralement "espionnés" sur Internet.
L'hebdomadaire avance que ce sont "une centaine en province, une cinquantaine à Paris et en petite couronne" de Gilets jaunes qui sont ainsi suivis. Des moyens importants auraient été déployés par la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP) qui demanderait à ses limiers mettre en place un "espionnage" sur Internet des cibles, voire même de les placer sur écoute téléphonique.
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Selon Le Point, les demandes en ce sens de la DRPP auprès de la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR) compétente, se sont "multipliés".
Des consignes de fermeté et une intention de ne pas "lâcher" les Gilets jaunes qui semble être de mise à Paris. Le Canard enchaîné révélait ainsi mercredi 30 les consignes données aux forces de l'ordre pour "traiter" les Gilets jaunes interpellés et placés en garde à vue le jour d'une manifestation.
"Si les policiers pincent quelqu'un par erreur, il faut, précise froidement le courriel, «de préférence maintenir» l'inscription au fichier TAJ (pour traitement des antécédents judiciaires), même «lorsque les faits ne sont pas constitués»", révélait notamment l'hebdomadaire satirique. Soulignant que la méthode, si elle était avérée, relèverait du fichage abusif.




