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CIF : les salariés manifestent à Paris contre l'extinction de l'établissement
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
A l'appel de l'intersyndicale, les salariés, brandissant des pancartes « nos emplois = vos maisons » ou « Bercy, touche pas à mon CIF, le chômage c'est pas mon kiff », sont venus de toute la France apporter leur soutien à leur PDG, Michel Bouvard, nommé le 10 octobre, avec lequel ils se sont dits « en phase ».
M. Bouvard a été auditionné par la commission des finances de l'Assemblée, aux côtés notamment de Ramon Fernandez, directeur général du Trésor.
Il a expliqué à l'issue de cette audition que le CIF avait « 10 jours » pour présenter un nouveau projet, selon les syndicats.
« Nous avons demandé un délai supplémentaire de trois mois », a toutefois déclaré à l'AFP Ida Magneron, déléguée SNB-CFE-CGC, à l'issue de l'audition de l'intersyndicale, précisant que la prochaine étape était de se tourner vers la commission européenne.
« Les députés nous soutiennent dans notre mission sociale », a-t-elle aussi dit.
Au bord de la cessation de paiement, le CIF, spécialisé dans le crédit immobilier aux ménages plutôt modestes et employant 2.500 personnes, a dû se résoudre fin août à demander la garantie de l'Etat. En échange de ce soutien, les pouvoirs publics lui ont imposé une gestion « en extinction », c'est-à-dire sans possibilité d'accorder de nouveaux prêts.
Les salariés réclament un adossement à la Caisse des dépôts ou à la Banque Postale, ou « la création d'une banque publique d'accession sociale à la propriété », selon Cynthia Paillard, responsable clients du CIF Rhône-Alpes-Auvergne.
« On finance des prêts pour des CDD, des personnes en intérim. Près de 50% de nos clients touchent l'APL en Bretagne et 43% des dossiers n'ont pas d'apports personnels », a affirmé Sabine Legros, directrice des risques et du contrôle interne pour la Bretagne.
L'ex-porte-parole du NPA Olivier Besancenot, venu soutenir les salariés du CIF, a précisé que liquider le CIF reviendrait à faire « un cadeau supplémentaire aux banques sur une part d'activité dont elles vont s'accaparer » sans que les familles concernées puissent bénéficier des mêmes prestations.