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Grèce: vague de grèves cette semaine avant le vote crucial sur la rigueur
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Les transports en commun sont les plus touchés. Les employés du métro et du tramway à Athènes ainsi que les taxis ont ouvert le bal lundi, selon des communiqués de leurs syndicats respectifs.
Les journalistes de tous les médias, écrit, radio-télévisé ou électronique sont en grève pour 24 heures. Le syndicat de la société publique d'électricité (Dei) a annoncé des grèves reconductibles de 48 heures à partir de lundi soir.
Les hôpitaux ont également tourné au ralenti lundi ne fonctionnant qu'avec du personnel d'astreinte.
La mobilisation prendra de l'ampleur mardi et mercredi en raison d'une grève générale de 48 heures à l'appel de deux syndicats du privé et du public, respectivement GSEE et Adedy. Outre des arrêts de travail dans le métro, aucun bus ni tramway ne circulera à Athènes tandis que les dessertes maritimes vers les îles seront annulées pour cause de grève de 48 heures du syndicat des marins, Pno.
Un arrêt de travail de trois heures des contrôleurs aériens mardi en fin matinée devrait perturber les vols des lignes aériennes.
Des manifestations sont également prévues par les syndicats mardi et mercredi dans le centre d'Athènes.
Les syndicats protestent contre un projet de loi sur un nouveau tour de vis de rigueur prévoyant des économies de 18,5 milliards d'euros d'ici 2016, qui doit être déposé lundi après-midi au Parlement par le ministère des Finances.
Il sera discuté en procédure d'urgence et le vote est prévu pour mercredi soir, un test important pour la cohésion du gouvernement de coalition droite-gauche, dirigé par le Premier ministre conservateur Antonis Samaras.
Un autre vote crucial sur le budget d'Etat 2013 est prévu dimanche.
Les nouvelles économies prévoient des coupes dans les salaires et retraites, la réduction du nombre des fonctionnaires et plus de mesures sur la dérégulation du marché de travail. Elles viennent s'ajouter à trois lois depuis 2010, qui avaient soumis le pays à une austérité sévère, en échange des prêts UE-FMI pour lui éviter la faillite.
Ce train de mesures est une condition préalable pour la poursuite des versements des prêts à la Grèce et plus particulièrement pour le versement d'une tranche de 31,2 milliards d'euros, retardée depuis juin et vitale pour le pays dont les caisses sont vides.




