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La nostalgie pour l’URSS gagne du terrain en Russie
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
L’antisoviétisme, la négation de ce qu’a représenté cette avancée humaine a été le moyen et demeure le moyen privilégié pour abattre les commuinistes, pour en finir avec toutes les rébellions devant l’injustice, et ce en violation de ce qu’en pensent ceux qui l’ont vécu et à qui on a jamais parlé de fin du socialisme mais de son amélioration, en général sur des bases péresentées comme nationales. C’est peu dire que le capital a trouvé des alliés dans ce négationisme dans la gauche, sociaux-démocrates et trotskistes en ont été les instruments, mais quand les communistes sont enchaînés ils sont eux-mêmes à leur tour en péril parce que le capital n’a plus besoin d’eux. L’extrême-droite qui transforme le prolétaire en lie de l’humanité telle que’ la rêve le capital suffit. Voilà une autre leçon de mes mémoires (note de Danielle Bleitrach)
Photo: Boris Klipitser / chronique photo TASS
Près de 60% des Russes considèrent que la principale caractéristique de l’ère soviétique, était le souci de l’État envers les citoyens ordinaires, selon les données du sondage du Centre Levada.
La principale caractéristique de l’ère soviétique était la prise en charge par l’État des citoyens ordinaires. Tel est l’avis de 59% des participants à l’enquête du Centre Levada: en 2008, c’éyaient seulement 29% des répondants qui pensaient ainsiSelon les résultats d’une étude sociologique, l’URSS considère que l’absence de conflits interethniques (46% des personnes interrogées), le développement de l’économie et l’absence de chômage (43% des personnes interrogées) constituent un autre aspect positif de la vie de l’URSS.
Plus du tiers des Russes (39%) sont convaincus que la période soviétique a été caractérisée par une amélioration constante de la vie des gens. 31% des personnes interrogées pensent que la science et la culture nationales à l’époque soviétique occupaient les positions les plus avancées du monde.
À leur tour, un russe sur 24 (24%) associe la vie à l’Union soviétique avec des ruptures et des pénuries, notent les sociologues. Dans le même temps, 17% des répondants citent parmi les manifestations négatives de l’isolement du pays vis-à-vis du monde extérieur, l’impossibilité de voyager à l’étranger (en 2000, 25% des répondants le pensaient).
«Le soutien croissant à l’idée de l’URSS en tant qu’État juste semble entraîner une croissance de la nostalgie de l’Union soviétique dans son ensemble (en 2018, la proportion de ceux qui« regrettaient »l’effondrement était 2,5 fois supérieure à celle de ceux qui ne manquent pas de l’époque soviétique) ainsi que la loyauté croissante envers les dirigeants de cette période, en particulier envers Staline », a déclaré Karina Pipia, chercheuse au Centre Levada.
Selon l’expert, il ne faut pas considérer de tels sentiments comme le désir de la population de restaurer l’URSS. L’opinion sur le «retour à la voie empruntée par l’Union soviétique» en 2019 a été soutenue par 28% des personnes interrogées dans l’ensemble de l’échantillon, tandis que plus de la moitié des personnes interrogées considéraient que la Russie avait «sa propre manière de faire».
Dans le même temps, la proportion de ceux qui croient en la rectitude de la voie soviétique a atteint son maximum en 2019. En 2000, seuls 18% des Russes souhaitaient «retourner sur la voie de l’URSS». En 2013 – 22%.
Seulement un tiers des Russes (29%) se souviennent maintenant du « rôle directeur du Parti communiste ». En 2008, une personne sur deux connaissait cet article de la loi principale du pays (43%).