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Grève au Samu social de Paris pour les conditions salariales
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
La grève n'a pas été fortement suivie, car de nombreux salariés "ne peuvent plus se permettre de perdre même quelques dizaines d'euros", mais beaucoup portaient un brassard indiquant qu'ils soutenaient la grève, a expliqué à l'AFP Eric Mesbahi, délégué du syndicat SUD, qui représente 50% des effectifs.
La direction n'a comptabilisé qu'une quinzaine de grévistes, sur un total de près de 700 salariés.
La prime de Noël, qui était de 500 euros brut en 2011, "sera divisée de moitié cette année, et ne sera pas versée à tout le monde", a dénoncé Eric Mesbahi.
La direction a indiqué de son côté que la prime dépendait chaque année de ce qu'il restait de disponible en matière de trésorerie et que son montant n'était pas figé. "Cette année on n'a pas pu faire plus que 250 euros, et on a décidé de privilégier les bas-salaires en la réservant à ceux gagnant moins de 2.350 euros brut", a expliqué Eric Molinié, président du Samu social de Paris.
Cette prime concernera au total 80% des salariés, a-t-il précisé.
Pour le syndicaliste SUD, la politique salariale du Samu social de Paris est "misérabiliste". "On est en train de devenir plus pauvres que les pauvres", a-t-il dit, évoquant le cas de collègues gagnant "1.300 euros après 18 ans d'ancienneté" ou obligés de dormir "dans leur voiture ou dans des centres d'hébergement".
"On essaie de résoudre les cas particuliers" de salariés en situation difficile, a indiqué Eric Molinié, soulignant avoir instauré des mesures ponctuelles de rattrapage salarial pour compenser une décision gouvernementale de geler les salaires en 2012.
Le Samu social de Paris, qui est un groupement d'intérêt public, intervient auprès des publics en difficulté comme les sans domicile fixe. Il gère des centres d'hébergement et a en charge le numéro d'appel d'urgence des SDF, le 115.




