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La Gauche Républicaine et Socialiste (de Maurel et Lienemann) soutient Montebourg
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
La "Gauche républicaine et socialiste" est issu d'un ancien courant de gauche du parti socialiste qui s'était rapproché de la France insoumise. Aux élections européennes de 2019, Emmanuel Maurel, principal dirigeant de ce groupe, avait été élu au parlement européen sur les listes de la France insoumise.
Chantre d'un "nouveau front populaire", la GRS rallie Montebourg qui se veut au delà de la droite et de la gauche, hostile à la réduction du temps de travail, et pour la défense du patronat patriote (souvenons nous que Montebourg est lui-même un patron...). Il défend une ligne "universaliste" qui ignore l'islamophobie. Il tape à bras raccourcis sur Mélenchon.
C’est un choix logique et cohérent. Un choix qui s’impose au regard des enjeux actuels.
La crise sanitaire a mis en lumière l’absurdité et l’inefficacité d’un système fondé sur le libre-échange généralisé, l’austérité budgétaire, l’affaiblissement de l’État et la course au moins disant social. Elle a aussi discrédité des dirigeants qui, aveuglés par leur dogmatisme, ont laissé faire, voire encouragé, les délocalisations industrielles et la casse des services publics.
Macron est de ceux-là. Que restera-t-il de son quinquennat ? Un grand mouvement social, celui des Gilets Jaunes, provoqué par une des mesures iniques qui ont fait la marque de fabrique de ce gouvernement. Le grand désarroi des enseignants, des chercheurs, des personnels des hôpitaux face à la dégradation de ces services publics. La gestion calamiteuse à grand coups d’improvisations, de la crise du Covid, qui a exacerbé l’angoisse des Français. Une pratique solitaire du pouvoir. Une série de mesures en faveur des plus riches au moment où le pays tout entier devait son salut aux travailleurs de l’ombre, mal payés et mal considérés. Les classes populaires ont été largement sacrifiées, méprisées, parfois même matraquées, sous ce quinquennat. 2022 doit permettre le retour de la France populaire.
Pour nous, cela passe par une politique de redressement républicain.Démondialisation, promotion du « made in France », retour de l’État dans la vie économique et sociale, augmentation massive des bas salaires, transition écologique et objectif zéro pétrole, égalité territoriale, défense de la laïcité, 6ème République : les priorités politiques d’Arnaud Montebourg sont les nôtres.
La faiblesse actuelle de la gauche n’est pas une fatalité. En renouant avec l’esprit de conquête républicaine, avec le volontarisme politique, avec le respect de la souveraineté populaire, nous pouvons démentir les prévisions les plus sombres.
Ce soutien à notre candidat n’implique pas de renoncer à l’ambition unitaire qui toujours été la nôtre. Lors de la création de la GRS en 2019, nous en appelions à la construction d’un « nouveau Front populaire » fédérant toutes les composantes de la gauche et de l’écologie et à l’élaboration d’un pacte législatif entre elles. Cet objectif reste pertinent si l’on veut faire échec au macronisme et affronter une extrême droite menaçante.
Dans ces temps confus et incertains, l’essentiel est de savoir pour qui on se bat, et où l’on veut aller. Pour les militants de la gauche républicaine, il n’y a rien de plus exaltant que de se consacrer au redressement de la France. Avec Arnaud Montebourg, nous pouvons y contribuer.
Une conférence de presse, diffusée en ligne et en direct sur la page facebook de la GRS, depuis le siège du parti au 3 avenue de Corbera à Paris (12e arrondissement), se tiendra aujourd’hui à 19h30 en présence d’Arnaud Montebourg.