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L’inflation s’envole
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
L'inflation progresse fortement en octobre.
L'indice des prix à la consommation est en hausse de +2,6% sur un an en octobre. L'indice des prix à la consommation harmonisé (qui reflète davantage ce que paient les ménages) s'envole à +3,2%
Les prix de l'énergie sont en hausse de plus de 20% sur un an !
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L'inflation bondit à 2,6 % en octobre en France | Les Echos
La hausse des prix à la consommation a grimpé de 0,4 point ce mois-ci par rapport à septembre, en raison de l'envolée des cours de l'énergie notamment, selon les données publiées par l'Insee ce vendredi.
En France, comme ailleurs en Europe, les prix grimpent tous les mois un peu plus. Déjà en hausse de 2,2 % en septembre , les prix à la consommation ont augmenté de 2,6 % sur un an en octobre dans l'Hexagone, selon les données provisoires publiées ce vendredi par l'Insee. L'indice des prix harmonisés (IPCH) - qui est calculé sur un périmètre un peu différent de celui retenu par l'Insee mais permet les comparaisons internationales - affiche sur la période une hausse des prix en France de 3,2 %.
Comme depuis plusieurs mois, la flambée des prix de l'énergie, en particulier du gaz et des produits pétroliers, qui pèse pour près de 8 % dans l'indice, demeure la principale explication à cette poussée inflationniste. Ils ont bondi de 20 % sur un an. Mais ceux des services accélèrent aussi (+1,8 %).
En revanche les prix de l'alimentation et des produits manufacturés ralentissent. « Sur un mois, les prix à la consommation augmenteraient de 0,4 % après s'être repliés de 0,2 % en septembre », précise l'Insee. Le recul des prix de l'alimentation serait moins marqué qu'en septembre. Et de leur côté les prix des produits manufacturés ralentiraient.
« Plus longue que prévu »
Jusqu'où cette inflation montera-t-elle et quand va-t-elle s'arrêter ? « La poussée d'inflation sera plus longue que prévu », a averti jeudi la présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde. Et elle va continuer d'augmenter cette année.
Il y a quinze jours, la Banque de France a elle aussi indiqué que l'horizon n'était plus la fin de l'année, avec un pic à 2,75 % comme anticipé en septembre dernier. Sur le fond, la Banque de France explique toujours la poussée actuelle par la réouverture simultanée des économies mondiales et les phénomènes de pénuries qui l'accompagne.
Non seulement la hausse peut durer « plusieurs trimestres » encore, mais elle pourrait être « plus forte » qu'attendue. Les prix à la consommation des produits manufacturés « ont accéléré au troisième trimestre », constatent Yannick Kalantzis et Youssef Ulgazi de la Banque de France.
A ce stade, ces experts, comme la plupart des économistes, estiment toutefois que le phénomène sera temporaire et qu'il s'atténuera progressivement au cours de l'année prochaine.




