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Toulouse : pourquoi ils manifestent encore contre le pass sanitaire
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Toulouse : pourquoi ils manifestent encore contre le pass sanitaire - ladepeche.fr
Environ 300 personnes ont manifesté, ce samedi 13 novembre, en centre-ville de Toulouse. Ils dénoncent toujours, quatre mois après son instauration, le pass sanitaire.
Quatre mois après le début des manifestations anti pass sanitaire, l'ambiance est toujours au beau fixe parmi les manifestants du samedi après-midi, à Toulouse. Dès 14 heures, devant l'entrée du métro Jean-Jaurès, il y a des Gilets jaunes - une dizaine, pas plus - mais environ 200 à 300 personnes au total, autour de l'Ago Rap, ce chariot de supermarché transformé en sono géante.
Dénonciation de la "casse sociale de l'assurance chômage et des retraites"
"On ne va rien lâcher, on ne sait pas quand on gagnera, si c'est dans trois jours, dans trois mois ou dans trois ans, mais avec les Gilets jaunes, on a fait trembler Macron et l'oligarchie qui l'entoure. Il y a ici des gens de 70 ans, qui luttent depuis 50 ans contre le système capitaliste qui écrase l'humain. Alors pour eux, moi je ne lâcherai rien pour la révolution", lance un des animateurs de l'Ago Rap. Le ton est donné. Les anti pass sanitaire, dont fait partie Sylvie, aide-soignante à Toulouse, luttent aussi contre "le comportement idéologique et autoritaire du gouvernement" et dénoncent "la casse sociale de l'assurance chômage et des retraites, le délit d'opinion et les fascismes".
Les manifestants rencontrés sont des soignants, des éducateurs, des retraités
"Dans mon établissement, les mises à pied des personnels du médico-social ont été nombreuses", raconte la professionnelle. "Nous luttons contre la répression que subissent celles et ceux qui luttent contre le pass sanitaire", ajoute-t-elle. Conscients d'être "trop peu" à être mobilisés sur ces questions, les manifestants que nous avons rencontrés se présentent comme soignants, éducateurs, gilets jaunes, précaires.
Ils réclament, à travers leur marche entre Jean-Jaurès et Arnaud-Bernard, encadrée par la police et sous circulation interrompue, la fin des mises à pied des personnes non vaccinées et leur réintégration, avec indemnisation totale des périodes sans salaires, l'arrêt des mutations sanctions et autres brimades, ou encore le remboursement des tests PCR et antigéniques pour tous. Et évidemment, "la levée immédiate du pass sanitaire".