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    La direction de la CGT s’oppose à la marche contre la vie chère du 16 octobre

    Lien publiée le 22 septembre 2022

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    Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.

    La CGT ne participera pas à la marche contre la vie chère et l'inaction climatique (europe1.fr)

    CGT

    Le président de la CGT a annoncé ce jeudi que son syndicat ne se rendra pas à la marche contre la vie chère et l'inaction climatique, prévue le 16 octobre. Philippe Martinez a rappelé des prochaines mobilisations, dont celle du 29 septembre. "Nous voulons des mots d'ordre clairs", a-t-il asséné sur LCI.

    La CGT ne participera pas à la "grande marche contre la vie chère et l'inaction climatique", le 16 octobre, initiée par LFI, le PS, EELV, et d'autres organisations, a affirmé jeudi son secrétaire général, Philippe Martinez.

    "Nous avons décidé de ne pas y participer", a déclaré M. Martinez sur LCI. "Nous considérons qu'il y a besoin de réussir les mobilisations d'aujourd'hui (sur la santé) et du 29 (journée intersyndicale pour les salaires)", a-t-il poursuivi. "Nous voulons des mots d'ordre clairs", a-t-il fait valoir en référence à ceux mis en avant pour la mobilisation du 16 octobre. "Il faut des mots d'ordre plus offensifs. Nous, nous parlons d'augmentation des salaires".

    De nombreuses revendications

    La France insoumise, le PS, EELV et d'autres organisations de gauche ont appelé à une "grande marche contre la vie chère et l'inaction climatique" à Paris le 16 octobre, après d'intenses tractations qui n'ont pas emmené la plupart des syndicats et les communistes.

    Le leader cégétiste avait à plusieurs reprises affiché ses réserves sur un telle initiative alors que la centrale syndicale a notamment prévu depuis l'été une journée de grève interprofessionnelle, le 29 septembre. "On accepte le soutien mais on ne veut pas se faire dicter un certain nombre de choses par les partis politiques", a-t-il redit sur LCI.

    Hausse des salaires, blocage des prix de l'énergie et des produits de première nécessité, taxe immédiate sur les super-profits, investissement "massif" pour une "bifurcation écologique" ou encore retraite à 60 ans feront partie des revendications du cortège.