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Olivier Mateu, le candidat des Bouches-du-Rhône pour succéder à Philippe Martinez à la tête de la CGT
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
L'union départementale CGT des Bouches-du-Rhône va proposer la candidature de son secrétaire général, Olivier Mateu, pour briguer la tête de la CGT, face à la candidate désignée par la direction sortante, Marie Buisson.
Olivier Mateu (2020) © Maxppp - VALERIE VREL
C'est une petite révolution à la CGT, peu habituée aux duels pour désigner son numéro un. L'union départementale CGT des Bouches-du-Rhône va proposer la candidature de son secrétaire général, Olivier Mateu, pour briguer la tête du syndicat, face à la candidate désignée par la direction sortante, Marie Buisson, selon un courrier daté du 5 décembre et obtenu par l'AFP ce vendredi.
Cette désignation du secrétaire général du syndicat aura lieu lors du 53e congrès de la CGT, prévu du 27 au 31 mars 2023 à Clermont-Ferrand. D'ici là, Olivier Mateu devra franchir quelques obstacles.
Pour être candidat lors du 53e Congrès, le Provençal doit, dans un premier temps, être intégré à une liste des soixante membres de la future commission exécutive confédérale (CEC), constituée par la commission de candidature à partir des personnes "mises à disposition" par les fédérations et les unions départementales. Pour l'instant, Olivier Mateu ne figure pas sur la liste provisoire, car son union départementale n'a pas respecté la règle de présenter également une candidature féminine en plus de la sienne.
Toutefois, cette règle pourrait encore changer d'ici fin janvier selon Céline Verzeletti, membre de la direction actuelle. Elle rapporte qu'il a été décidé lors du comité confédéral national (CCN) de novembre qu'il "fallait retravailler la liste", et que le critère exigeant la présence d'au moins une femme "peut bouger à tout moment".
Le nom d'Olivier Mateu pourrait donc être ajouté lors du prochain CCN, ou même lors du congrès, prévu du 27 au 31 mars à Clermont-Ferrand.
Une candidature inattendue pour le syndicat
Cette seconde candidature face à la candidate de la direction sortante est inattendue pour la confédération syndicale, qui n'a pas l'habitude de voir plusieurs de ses membres s'affronter pour la place de numéro un.
C'est "extrêmement rare" pour la CGT, "assez pour illustrer le malaise général interne et l'absence d'orientation" responsables du "déclin malheureusement en cours" depuis l'arrivée de Philippe Martinez aux commandes, a commenté Romain Altmann (Info'com CGT) auprès de l'AFP. Déclin que confirme, selon lui, le recul de la CGT lors des élections professionnelles dans la fonction publique : 20,8%, -1,1 point, selon les résultats publiés mercredi.




