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Les éditions La Dispute et les Éditions Sociales ont besoin de vous !
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
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En France, l’édition vit écrasée par une poignée de grands groupes capitalistes. Ces groupes aux chiffres d’affaires vertigineux possèdent des centaines d’éditeurs, des groupes de diffusion/distribution, des réseaux de ventes mais aussi une quantité de médias. Ces derniers mois on a vu pas mal de monde s’émouvoir du rachat d’Hachette par Bolloré mais le monde du livre n’a malheureusement pas attendu le patron de CNEWS pour servir des logiques de prédation capitaliste et de guerre idéologique.
Avec les Editions sociales et La Dispute, on fait partie des éditeurs qui s’opposent à ces empires. On est deux maisons, deux catalogues, mais une seule équipe d’éditrices, au service d’une même ambition éditoriale. On publie des livres exigeants pour transmettre des savoirs populaires, reconstruire un espace de débats marxistes, renforcer la puissance de penser et d'agir de celles et ceux qui veulent transformer le monde et changer la vie.
Mais on le fait à notre échelle, celle de petits éditeurs indépendants et autonomes, et nos moyens sont sans commune mesure avec ceux des grands groupes de l’édition. Cet engagement est un combat quotidien. Si on le mène avec le cœur à l’ouvrage c’est qu’on est convaincues que, même si l’édition critique ne suffira pas à abolir l’état actuel des choses, elle peut y contribuer.
Aujourd’hui, c’est nous qui avons besoin de vous.
Ces dernières années ont été bien remplies. On a rajeuni nos équipes, déployé nos catalogues, publié des dizaines d’auteurs, changé nos maquettes de couvertures, lancé de nouvelles collections, stoppé notre diffusion sur Amazon, multiplié nos initiatives en librairies et auprès des mondes militants. Ces choix sont payants mais notre équilibre économique n’est pas encore établi.
Aujourd’hui, des défauts de trésorerie menacent la pérennité de nos maisons. On a besoin de 50 000 € dans les prochaines semaines pour pouvoir payer nos fournisseurs et nos salaires, et passer le cap des prochains mois. Ce besoin de trésorerie est lié à des mois de vente difficiles et aux contraintes économiques qui pèsent sur nous : nous ne disposons d’aucun mécènes et nous ne pouvons compter que sur la vente de nos livres, qui sont des livres de fonds dont la rentabilité ne se travaille que sur le moyen et long terme.
En plus de 25 ans d’existence, c’est la première fois qu’on fait appel à votre solidarité. En participant à notre campagne, vous nous aidez à poursuivre notre engagement et notre développement éditorial.





