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Total : la grève se poursuit dans quatre raffineries
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(Le Parisien) «La mobilisation continue», voilà le message passé par la CGT ce samedi. Quatre des cinq raffineries françaises du groupe pétrolier Total seront toujours en grève au moins jusqu'à lundi midi pour réclamer une augmentation salariale minimale de 100 euros ainsi qu'une prime de 1.500 euros. Les deux syndicats CGT et FO, à l'origine du mouvement social qui dure depuis neuf jours, estiment que les «résultats mirobolants du groupe, régulièrement supérieurs à 10 milliards d'euros» de bénéfices, doivent aussi profiter aux salariés.
Les raffineries de Donges (Loire-Atlantique), Gonfreville-l'Orcher (Seine-Maritime), Châteauneuf-les-Martigues (Bouches-du-Rhône) et Feyzin (Rhône) sont concernées par ce mouvement, ainsi que le dépôt d'importation de Flandres (Nord). La cinquième raffinerie de Total, à Grandpuits (Seine-et-Marne) a, elle, cessé la grève en début de semaine.
«Aucun problème d'approvisionnement»
Côté consommateurs, un porte-parole de Total avait assuré vendredi que «la situation dans les raffineries n'entraîne absolument aucun problème d'approvisionnement». Le président de l'Union française des industries pétrolières (Ufip), Jean-Louis Schilansky, a confirmé qu'il n'y avait «aucune perturbation» pour alimenter les stations-service, précisant que le marché français était notamment approvisionné par des importations.
Outre la raffinerie seine-et-marnaise de Total qui a cessé la grève, trois autres raffineries, exploitées par d'autres pétroliers, fonctionnent par ailleurs dans l'Hexagone.
Les raffineries de Donges (Loire-Atlantique), Gonfreville-l'Orcher (Seine-Maritime), Châteauneuf-les-Martigues (Bouches-du-Rhône) et Feyzin (Rhône) sont concernées par ce mouvement, ainsi que le dépôt d'importation de Flandres (Nord). La cinquième raffinerie de Total, à Grandpuits (Seine-et-Marne) a, elle, cessé la grève en début de semaine.
«Aucun problème d'approvisionnement»
Côté consommateurs, un porte-parole de Total avait assuré vendredi que «la situation dans les raffineries n'entraîne absolument aucun problème d'approvisionnement». Le président de l'Union française des industries pétrolières (Ufip), Jean-Louis Schilansky, a confirmé qu'il n'y avait «aucune perturbation» pour alimenter les stations-service, précisant que le marché français était notamment approvisionné par des importations.
Outre la raffinerie seine-et-marnaise de Total qui a cessé la grève, trois autres raffineries, exploitées par d'autres pétroliers, fonctionnent par ailleurs dans l'Hexagone.




