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    Total: fin de la grève à la raffinerie de La Mede

    lutte-de-classe

    Lien publiée le 27 décembre 2013

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    Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.

    (Reuters, 27 décembre) Total a annoncé vendredi que les salariés de la raffinerie de La Mede dans les Bouches-du-Rhône avaient décidé de mettre fin à leur mouvement de grève, ne laissant plus qu'une raffinerie en grève.

    "La Mede est sortie (de la grève, ndlr)", a déclaré à Reuters une porte-parole du groupe pétrolier. Cette annonce survient au lendemain de la décision des salariés de la raffinerie de Feyzin (Rhône) de mettre fin au mouvement de grève lancé il y a deux semaines pour obtenir des revalorisations salariales. 

    Seule la raffinerie de Gonfreville-l'Orcher en Seine-Maritime est toujours en grève. Un vote des salariés y est attendu ce jour vers 13h.

    (Afp, 26 décembre) Les salariés de la raffinerie Total de Feyzin (Rhône) ont décidé de mettre fin à leur grève, deux raffineries du groupe sur cinq restant ainsi touchées par un mouvement reconductible portant sur les salaires lancé il y a près de deux semaines, selon la CGT.
    "Après concertation des salariés en grève, nous avons décidé de mettre fin au mouvement" , a indiqué Michel Lavastrou, délégué syndical CGT à Feyzin, précisant que le site avait entamé le mouvement le 13 décembre.

    Les raffineries de Normandie (Seine-Maritime) et de Provence (Bouches-du-Rhône) ont reconduit le mouvement. Les deux autres raffineries du groupe -Donges (Loire-Atlantique) et Grandpuits (Seine-et-Marne)-, avaient mis fin à la grève il y a plusieurs jours.

    La CGT réclame notamment une augmentation minimale de 100 euros ainsi qu'une prime de 1500 euros et invite le groupe à négocier. Mais Total estime l'avoir déjà fait, un accord signé avec trois syndicats prévoyant notamment une augmentation générale de 1,5%.

    La direction de Total et le représentant du secteur pétrolier en France ont souligné ces derniers jours que le mouvement ne perturbait pas l'approvisionnement, en partie grâce à des importations.