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Goodyear: accord CGT/direction
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
LILLE, 22 jan 2014 (AFP) - Le syndicat CGT de l'usine d'Amiens-Nord et Goodyear Dunlop Tires France (GDTF) ont, après près de sept ans de conflit, signé mercredi "un accord favorable à l'ensemble des (1.173) salariés", a estimé la direction dans un communiqué.
Cet accord, signé en préfecture mercredi en début d'après-midi, "prévoit des améliorations significatives des indemnités qui seront perçues par les salariés dans le cadre de la fermeture de l'usine d'Amiens-Nord", ainsi que "des aménagements en matière de congés de reclassement et de mutuelle", a déclaré la direction de GDTF.
Dans un communiqué distinct, la CGT avait annoncé que les indemnités sont "trois fois plus importantes pour tous les salariés" que ce qui était prévu lors d'un plan de départs volontaires qui avait été proposé en 2012 puis abandonné, sans donner cependant de chiffres.
L'accord, signé en présence du directeur général de GDTF, Henry Dumortier, "implique enfin que la CGT d'Amiens-Nord mette immédiatement un terme à l'occupation de l'usine et se désiste sans délai dans la totalité des instances judiciaires tant civiles que commerciales qui l'opposent encore à Goodyear", a expliqué la direction.
Le syndicat, ultra-majoritaire à Amiens-Nord, a multiplié - sans succès - ces derniers mois les procédures judiciaires pour invalider la fermeture de l'usine, qui avait été annoncée le 31 janvier 2013.
Engagé dans un bras de fer depuis sept ans avec la direction, il a promis "une nouvelle bataille", cette fois-ci devant les Prud'hommes, "pour montrer à tous que les licenciements décidés par Goodyear n'ont aucune justification économique".
Des salariés avaient séquestré début janvier pendant 30 heures deux cadres du site d'Amiens-Nord, avant de les relâcher et d'occuper l'usine pour négocier de meilleures primes de licenciements.
Le directeur général de GDTF a salué mercredi la médiation de Jean-François Cordet, préfet de la Somme et de la région Picardie, qui "aura été décisive dans la recherche d'une solution apaisée".




