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Des postiers du 92 en grève occupent le siège de La Poste
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
PARIS, 13 fév 2014 (AFP) - Des postiers des Hauts-de-Seine, en grève depuis 15 jours, occupaient jeudi le siège parisien du groupe, pour réclamer notamment "l'arrêt des suppressions d'emplois", a indiqué un responsable de SUD, la direction confirmant la présence d'"une quarantaine" de personnes dans le hall.
Selon Gaël Quirante, secrétaire départemental de SUD-92, environ 90 postiers occupaient le siège rue de Vaugirard depuis 11H40 "pour demander à la direction des engagements écrits (...) sur l'arrêt des suppressions d'emplois, l'embauche des contrats précaires et une prime de vie chère",
Selon la direction de La Poste, les salariés étaient "environ une quarantaine", leur mouvement s'inscrivant dans le cadre d'un préavis de grève départemental illimité de SUD, suivi par quelque 6% du personnel.
Lancé il y a 15 jours à Rueil-Malmaison, le mouvement social s'est étendu à d'autres sites du département (Montrouge, Courbevoie, Genevilliers, Asnières, La Garenne Colombes et Colombes) et se traduit par des débrayages.
Les postiers toujours présents en début d'après-midi au siège, menaçaient "de monter dans les étages s'ils n'étaient pas reçus par la direction".
Sur ce point, La Poste a souligné qu'ils avaient déjà été reçus à cinq reprises (quatre fois au niveau départemental et une fois au niveau national) au cours des huit derniers jours.
Mais, a déploré le syndicat dans un communiqué, "malgré la demande formulée par les grévistes d'une médiation de l'inspection du travail, la direction départementale refuse obstinément de s'asseoir à la table des négociations".
Communiqué de presse SUD Activités Postales 92 du 13/2/14
Les postiers du 92 ont décidé de se rendre dans le Siège national de leu entreprise.
Leur direction départementale refuse de négocier et nie même l'existence d'une grève départementale qui touche aujourd'hui les centres de Montrouge, Courbevoie Malakoff, Vanves, Gennevilliers, le CTED de Colombes, Rueil-Malmaison, La Garenne-Colombes, Asnières. Ils ont donc décidé de se rendre là où les choses se décident.
Ils demandent qu'une négociation avec les directeurs d'établissements concernés et le directeur départemental se tienne afin de mettre fin au conflit au plus vite.




