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Les grèves dont on ne parle pas
Les brèves publiées dans cette rubrique « Informations et analyses » le sont à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
Cinquième semaine de grève dans une usine de biocarburants
La grève qui touche l’usine Saipol de Grand-Couronne, près de Rouen (Seine-Maritime), est entrée mercredi 2 novembre dans sa cinquième semaine. Cette usine, spécialisée dans les biocarburants et la transformation des graines oléagineuses en huile, est leader sur ce marché en France, souligne le site de France 3.
Selon la direction et les syndicats CGT et SUD, à l’origine du mouvement, le débrayage est suivi par la quasi-totalité du personnel de production, soit environ 40 % de l’ensemble des 140 salariés. La grève portait initialement sur l’amélioration du climat social et l’embauche d’une personne pour pallier les absences. La direction assure avoir répondu de manière positive à ces revendications, mais les syndicats réclament, depuis, une prime de fin de conflit de 2 000 euros et le paiement des jours de grève, ce qui bloque à nouveau la situation. Le mouvement touche aussi, depuis le 17 octobre, l’usine de Montoir-de-Bretagne, en Loire-Atlantique.
Dans un communiqué, la Fédération nationale des industries chimiques (FNIC-CGT) a dénoncé, mercredi, "l’attitude répressive et provocatrice" de la direction et sa volonté de "diviser en ne voulant négocier que pour un site [NDLR : Grand-Couronne]". De son côté, la direction a indiqué que ce conflit pénalisait l’entreprise, alors qu’elle est confrontée à "une concurrence exacerbée liée notamment à la surcapacité actuellement constatée en Europe", entraînant "une baisse de son activité" et "une chute de ses marges". (lemonde.fr)
Brest. Une grève illimitée menace le centre de tri de Kergaradec
Réunis en assemblée générale, hier, des employés du centre de tri de Brest-Kergaradec, au bord du ras-le-bol, se sont prononcés en faveur d’un principe de grève illimitée à compter de la semaine prochaine.
Soixante-quinze des 172 employés du centre de tri de Brest-Kergaradec, en charge du traitement automatisé pour l’ensemble des centres de courrier du Finistère, se sont réunis, hier, en assemblée générale. Soixante-douze des 75 salariés présents, un chiffre conséquent, selon Sud-PTT, car ils sont nombreux à travailler de nuit ont voté en faveur d’une grève illimitée à compter de la semaine prochaine. Le principe devrait être validé aujourd’hui ou demain. « Les gens ont stoppé le travail pendant 30 ou 40 minutes, ce qui est rare chez nous car nous avons des obligations en matière de prévenance de mouvement social. Il y a eu un vote sur les actions amener et le vote a été sans appel », a exposé Yves Abiven, délégué Sud-PTT, syndicat mobilisé avec la CGT.
« Le trafic du courrier n’est pas traité »
Cette assemblée générale a fait préalable à une entrevue d’une heure avec Joël Ansquer, directeur du centre. « Nous avons demandé à le rencontrer, espérant qu’il serait sensible à nos attentes. Nous n’avons pas été entendus ». Pour les syndicats et le personnel mobilisé, le point de départ de ce mouvement social est le manque de personnel. « Les positions de travail ne sont pas couvertes, le trafic du courrier n’est pas traité. Nous sommes obligés de transférer une partie du trafic de Brest vers Nantes. Ça a un impact sur le personnel, contraint de tenir des cadences plus élevées. Les arrêts de travail sont plus conséquents. Lors des vacations qui se croisaient, les collègues ont témoigné qu’ils ne parvenaient plus à finir le travail. Les cadres sont obligés de se positionner sur des postes d’exécution. Il n’est pas rare qu’ils se retrouvent sur des "maîtrises de tri". Dans 15 jours, nous entrerons dans une période de trafic de colis, de courrier, équivalente à trois mois en un mois. La période est relativement dure pour tout le monde mais, avant Noël, pour nous, l’activité est toujours plus importante ». Contactée mardi, la direction régionale de La Poste a rappelé que plusieurs millions seront dévolus prochainement à la modernisation du centre de tri de Brest-Kergaradec, transformé en plateforme industrielle dans le cadre de la modernisation de l’activité courrier en Bretagne. A partir de décembre, a-t-elle dit encore, des négociations porteront sur les régimes de travail des agents de cette plateforme et sur l’accompagnement social des salariés. « Pour autant, note Yves Abiven, les discussions amenées ne portent pas sur une augmentation du personnel à Brest. Sur ces réorganisations-là, on voit que le personnel est à100% du trafic, en permanence ». (letelegramme.com)
Grève illimitée du service des eaux de Paris à partir de lundi
PARIS - Le personnel du Service des Eaux de la Ville de Paris se mettra en grève illimitée à partir de lundi pour appuyer des revendications portant sur les salaires et des corrections de disparités, a annoncé vendredi son intersyndicale.
Cette grève, qui porte sur la production et la distribution de l’eau à Paris, concerne quelque 900 personnes. Elle ne devrait pas se traduire par des coupures d’eau pour les particuliers, ont souligné les membres de l’intersyndicale, mais des objectifs stratégiques, comme des mairies ou des ministères, pourraient être touchées.
De la même manière, le personnel ne devrait pas intervenir en cas de fuites sur le réseau.
Les salariés du Service des Eaux se réuniront lundi au siège de lEPIC Eau de Paris, dans le 14e arrondissement, avant de se rendre à 09H30 sur le parvis de l’Hôtel de Ville.
L’eau de Paris est retournée en régie municipale le 1er janvier 2010, après 25 années de gestion privée de distribution. Selon les syndicats, ce transfert du privé au public a entrainé des disparités au sein du personnel qu’ils entendent corriger. (romandie.com)