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Nouvelle manifestation de salariés de la Seita à Paris pour leurs emplois
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
PARIS, 22 sept 2014 (AFP) - Quelque 200 salariés du cigarettier Seita ont manifesté lundi à Paris pour la sauvegarde de leurs emplois et pour dénoncer un plan social de 366 suppressions d'emplois sur 1.150, a constaté une journaliste de l'AFP.
Le 15 avril, la filiale d'Imperial Tobacco, qui fabrique les célèbres Gauloises, a annoncé un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) prévoyant la fermeture en France de l'usine nantaise de Carquefou, la fin du centre de recherche de Bergerac (Dordogne), des suppressions de postes à Fleury-les-Aubrais (Loiret) et au siège à Paris.
La direction du fabricant a également annoncé la création de 130 emplois en Pologne où sera délocalisée une partie de la production.
Venus principalement du site de Carquefou et du centre de recherche de Bergerac à l'appel d'une intersyndicale CGT, SUD et Unsa, les manifestants ont défilé de la gare Saint-Lazare à l'Assemblée nationale.
"La colère monte, il faut que l'Etat prenne ses responsabilités. Ce plan social qui va coûter 200 million d'euros à Seita, est financé au tiers par l'Etat. Cela va avoir un coût important pour le contribuable", souligne Eric Comparot, délégué central CGT (53% des salariés).
Vêtu d'un gilet jaune fluo comme beaucoup de manifestants, Stéphane Lemazurier, salarié de l'usine nantaise, 45 ans, défile derrière la banderole de tête dont le mot d'ordre est :"luttons pour la sauvegarde de nos emplois".
"On veut que la direction nous laisse le temps pour négocier le plan social. Quand on regarde les résultats de l'entreprise, le plan n'est pas à la hauteur. Et puis, j'aurais préféré garder mon travail plutôt que de le voir délocaliser en Pologne", a-t-il dit à l'AFP. Il rappelle que la dernière réunion de négociation a lieu ce lundi de 16H00 à 18H00.
"Pour retrouver du travail à mon âge, il faut à peu près 20 mois de recherche d'emploi alors que le plan ne propose que 13 mois de reclassement", déplore M. Lemazurier.
L'entreprise propose une prime d'1,5 mois par année d'ancienneté avec un plancher de 40.000 euros, soit 107.000 euros en moyenne par salarié, selon la direction. Les syndicats réclament 2 mois par année d'ancienneté et une prime complémentaire pour tous les salariés.