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Le retour des luttes pour les salaires se heurte de plein fouet à la logique du capitalisme en crise

Après le reflux des mouvements sociaux qui a suivi le conflit des retraites, les luttes pour les salaires reviennent sur le devant de la scène notamment dans les grands groupes (Alcatel, Thalès, DCNS, Decaux, Keolis, etc.), mais aussi dans des secteurs d’habitude moins revendicatifs, comme la grande distribution – Carrefour, But, Ikea, Camaïeu, Système U, Intermarché – ou le bâtiment. Les salariés d’Eiffage Construction réclament par exemple 3% de hausse, notamment sur le chantier du Grand Stade de Lille. Eiffage rassemble 70 000 salariés autour de cinq métiers : grâce aux concessions et PPP (partenariats public-privé), c’est le troisième groupe français de BTP derrière Vinci et Bouygues et le cinquième groupe européen de construction, travaux publics, énergie et métal. Eiffage réalise un chiffre d’affaires de 13,3 milliards d’euros dont 16% à l’international, pour l’essentiel en Europe.

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Après le succès du 19 janvier, préparer la reconductible partout où c’est possible et imposer aux directions syndicales l’appel à la grève générale

La journée de grèves et de manifestations du 19 janvier a été un incontestable succès. Même le gouvernement a été obligé de le reconnaître. D’après les chiffres du ministère de l’Intérieur, les marches ont réuni 1,12 million de manifestant-e-s partout en France. L’intersyndicale annonce quant à elle 2 millions. Jamais, au cours des dernières décennies, une première journée de mobilisation n’avait réussi à réunir autant de monde. Les chiffres sont à la hauteur du mouvement contre la réforme des retraites de 2010, qui a culminé à 1,23 million de manifestant-e-s selon le ministère – mais c’était le sommet du mouvement, et non la première journée.
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