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Résultats des élections à la RATP
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(afp) Le score de la centrale s'est toutefois nettement tassé aux élections professionnelles, tandis que la CFDT est FO sont tombées sous le seuil de représentativité.
La CGT reste le premier syndicat de la RATP, malgré un important recul aux élections professionnelles, devant l’Unsa et Sud, alors que la CFDT et FO ont perdu leur représentativité, selon les premiers résultats publiés vendredi.
Quelque 44 600 salariés de la RATP (métro, bus, tramway, une partie des RER A et B) étaient appelés aux urnes jeudi pour renouveler leurs délégués du personnel. Le vote portait aussi sur les élus des onze comités départementaux économiques et professionnels (CDEP), qui assument à la RATP le rôle des comités d’établissement. Avec 28 880 votants, la participation s’est élevée à 65%.
La CGT reste la première instance représentative du personnel avec 30,4% des voix, loin devant l’Unsa (22,1%), qui recule de 3,6 points, et Sud (15,3%), qui en gagne 1,2. Cependant, le syndicat contestataire enregistre une baisse de 3,5 points par rapport au précédent scrutin de décembre 2010. Les grands perdants restent la CFDT et FO, qui n’ont plus la représentativité acquise quatre ans plus tôt d’une courte tête avec respectivement 10,12% et 10,06%. La chute est lourde pour la CFDT, qui s’écroule à 5,1% et se voit même dépassée par le SAT RATP (5,2%). Force ouvrière échoue de très peu (9,6%) sous le seuil des 10%, au-delà duquel un syndicat est représentatif.
A l’inverse, la CFE-CGC, syndicat proche des cadres, réalise un bond de plus de 4 points, passant à 9,3%. Dans le collège dédié à l’encadrement, son score atteint 32,7%, contre 18,3% quatre ans plus tôt. Le SAP RATP arrive en dernière position avec 3% des suffrages exprimés. Les 24 représentants du comité d’entreprise (12 titulaires, 12 remplaçants) seront ensuite élus par les nouveaux membres des comités départementaux économiques et professionnels. La date du vote n’est pas encore connue, a précisé l’entreprise à l’AFP.
Si les élections permettent de répartir les sièges dans les instances de représentation du personnel, elles offrent en outre une photographie des forces en présence dans le cadre des négociations sur les accords d’entreprise. Pour être valides, ces accords doivent être signés par un ou plusieurs syndicats ayant atteint au moins 30% des suffrages exprimés au premier tour. A l’inverse, un accord peut être bloqué par des syndicats totalisant 50% des voix.