Agenda militant
Ailleurs sur le Web
- Réunion publique avec Jean-Luc Mélenchon à Cahors (18/10)
- ÇA DÉGRINGOLE ! Barnier ne fait plus recette avec son budget (18/10)
- Thomas Coutrot: Remettre le contrôle ouvrier sur le métier (17/10)
- Sécurité sociale : aujourd’hui l’austérité, demain la privatisation (17/10)
- Grèce : amplifier et unir les luttes ! (17/10)
- Élections au Mozambique, ça sent le gaz ! (17/10)
- L’élection américaine échappe à tout pronostic (17/10)
- Je m’appelle révolution, de Lucy Parsons (17/10)
- Manuel Bompard, invité de Lundi c’est politique (15/10)
- Mélenchon - Proche-Orient : vers une nouvelle guerre (15/10)
- L’héritage lambertiste : la gauche entre révolution et compromis (15/10)
- Campagne présidentielle US : surenchères et brèches dans le consensus sioniste bipartisan (15/10)
- Pour vaincre l’extrême droite, il faut prendre le racisme (et l’antiracisme) au sérieux (15/10)
- ET SI LA FIN DU CAPITALISME AVAIT DÉJÀ COMMENCÉ ? (15/10)
- Mélenchon - La France sort de la scène de l’histoire (14/10)
- LA GAUCHE SE TROMPE, VOICI LA SOLUTION (BERNARD FRIOT / BERNARD VASSEUR) (13/10)
- 7 octobre : Michel Collon répond à vos questions - Michel Midi (13/10)
- Clash : Collon vs Roussel : Ne répétons pas les mensonges de Netanyahou ! (13/10)
- Un nouveau polar décolonial de Dominique Natanson (13/10)
- BUDGET 2025 : Les 10 mesures phares du Nouveau Front Populaire (13/10)
- "MARRE D’ÊTRE TRAITÉES COMME DE LA MERDE !" AU COEUR DE LA LUTTE DES FEMMES DE CHAMBRE (13/10)
- S’attaquer au problème de l’extrême droite en Grande-Bretagne (13/10)
- "In the Tracks of Marx’s Capital" : recension de Michael Roberts (12/10)
- Appel à la solidarité avec les palestiniens et les libanais (12/10)
- Salarié dans une entreprise "familiale" de chimie (12/10)
Liens
- Notre page FaceBook
- Site de la france insoumise
- Site du NPA-Révolutionnaire
- Site anti-k.org
- Le blog de Jean-marc B
- Démocratie Révolutionnaire
- Fraction l'Étincelle
- Révolution Permanente (courant CCR)
- Alternative Communiste Révolutionnaire (site gelé)
- Ex-Groupe CRI
- Librairie «la Brèche»
- Marxiste.org
- Wiki Rouge, pour la formation communiste révolutionnaire
Exposition : « Les Tudors »
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
https://npa2009.org/idees/exposition-les-tudors
Au Musée du Luxembourg (Paris) jusqu’au 19 juillet 2015
De toutes les dynasties qui se sont succédé sur le trône d’Angleterre, celle des Tudors, qui a régné entre 1485 et 1603, est certainement l’une des plus populaires.
Au-delà de la légende inspirée en grande partie par leur vie privée, ces souverains ont profondément marqué l’histoire de leur royaume : d’un point de vue politique, en lui conférant une position stratégique en Europe ; d’un point de vue religieux, en rompant avec l’Église catholique ; d’un point de vue culturel, en y accueillant la Renaissance. Des artistes venus d’Italie, de Flandre et des contrées germaniques, se sont alors mis au service de la cour pour répondre au nouveau besoin de représentation royale. C’est aux confins de toutes ces influences, dans un pays en pleine mutation, que se sont élaborées les formes originales de la Renaissance anglaise. Cette exposition est la première en France à être consacrée à ce sujet.
L’exposition permet également d’explorer le mythe qui s’est construit autour de la dynastie en se nourrissant des excès qu’on leur a attribués et du contraste entre les multiples mariages d’Henri VIII et le célibat d’Elisabeth. Toujours vivace au cinéma et à la télévision, cette légende prend racine dans la France du xixe siècle qui découvre l’histoire de l’Angleterre, Shakespeare et Walter Scott. À la grande époque du genre historique, les Tudors font leur entrée parmi les œuvres présentées au Salon. Mais c’est surtout sur la scène des grands théâtres parisiens que de fameux interprètes font revivre Henri VIII et ses épouses, Elisabeth et Marie Stuart, le temps d’une représentation, avec les pièces de Victor Hugo ou d’Alexandre Dumas, les opéras de Gaetano Donizetti ou de Camille Saint-Saëns. De la scène à l’écran, il n’y a qu’un pas que franchit Sarah Bernhardt en 1912, la première à incarner Elisabeth dans l’histoire du cinéma.
Milo