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Chatel (UMP) demande le retrait de la réforme ferroviaire
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
PARIS, 16 juin 2014 (AFP)
Luc Chatel, secrétaire général intérimaire de l'UMP, a demandé lundi, à contrepied de plusieurs responsables de son parti, le retrait de la réforme ferroviaire, sur fond de grève pouvant pénaliser les candidats au bac, demande jugée "pas responsable" par Manuel Valls.
Sur RTL, l'ancien ministre de l'Education a vu dans le conflit social une "prise d'otages indigne" des élèves, mais a demandé au gouvernement de retirer sa réforme "parce que c'est un mauvais texte" et parce qu'il y a "une crise dans le pays qui va jusqu'à la désorganisation de l'examen le plus important pour les jeunes Français".
"Le bac, c'est sacré dans notre pays", a fait valoir le député de Haute-Marne. "C'est un symbole qui mérite l'union nationale".
A propos des cheminots, il a dénoncé "des comportements inacceptables".
Interrogé sur la position des parlementaires UMP face au projet de loi regroupant RFF (réseaux) et la SNCF (trafic), il a répondu : "nous ne la voterons pas", "nous pensons que c'est une mauvaise réforme" qui "ne prépare pas l'arrivée de la concurrence".
"Je demande au gouvernement de le retirer" vu qu'il "s'agit d'un texte qui va dans la mauvaise direction, et qui est un retour en arrière", a dit M. Chatel.
Il va donc dans le sens de la CGT ? "Pour des raisons différentes, la CGT elle, était favorable à ce texte pour des raisons conservatrices", selon lui.
Plusieurs ténors de l'UMP avaient pris une position différente : La droite doit avoir "une attitude responsable" et "ne pas compliquer la tâche du gouvernement", a ainsi exhorté le député Hervé Mariton. "Je demande" au gouvernement "de ne pas reculer" face "aux grévistes jusqu'aux-boutistes", a renchéri l'ancien ministre Xavier Bertrand.
Interrogé un peu plus tard sur France Info sur cette requête du secrétaire général de l'UMP, le Premier ministre a commenté : "Voilà une position bien étrange au moment ou il y a une grève qui pénalise les usagers, qui peut pénaliser les bacheliers, même s'il y a une mobilisation exceptionnelle de l'Education nationale, mais aussi de la SNCF".
"Cette proposition de Luc Chatel n'est pas responsable", a insisté M. Valls. "Nous sommes dans un moment particulier pour le pays, on a besoin de responsabilité. le gouvernement n'est pas fermé, il n'est pas obtus, il écoute, il dialogue (...) dans la majorité comme dans l'opposition, on doit se comporter avec responsabilité".




