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Selon Médiapart, Cambadélis aurait usurpé des diplômes
Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.
(afp) Dans un ouvrage, un journaliste du site affirme que le premier secrétaire du PS aurait soutenu sa thèse en 1984 sans avoir obtenu les diplômes précédents du parcours universitaire. L'intéressé dément.
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, aurait usurpé une partie de ses diplômes avant de présenter sa thèse, affirme le journaliste de MédiapartLaurent Mauduit dans un livre à paraître jeudi.
«C’est du très grand n’importe quoi», a réagi Cambadélis auprès de l’AFP. Selon ce livre, intitulé A tous ceux qui ne se résignent pas à la débâcle qui vient (Editions Don Quichotte), Cambadélis aurait obtenu son doctorat de troisième cycle de sociologie à Jussieu et soutenu sa thèse alors même qu’il n’avait pas les diplômes antérieurs requis. Médiapart en publie les bonnes feuilles mercredi.
«En 1984, il n’a ni licence, ni maîtrise, ni, a fortiori, DEA», affirme le journaliste. Selon lui, Cambadélis parvient alors à faire fabriquer un «faux» dans une université parisienne et à s’inscrire à l’université de Paris VII-Jussieu, en disposant «d’un allié dans la place», Pierre Fougeyrollas, résistant communiste, sociologue et anthropologue venu enseigner à Jussieu. Celui-ci a rejoint «en 1974 l’OCI et s’est lié d’amitié avec Pierre Lambert», dirigeant de l’organisation trotskiste. Jean-Christophe Cambadélis a milité au sein de l’Organisation communiste internationale dans les années 1970.
Selon l’auteur, qui fut aussi militant à l’OCI et dirigeant de l’Unef au milieu des années 1970, contrairement à ce qu’affirmait la biographie de l’actuel patron du PS sur le site Wikipédia (jusqu’à mercredi, celle-ci ayant été modifiée ce jour), sa thèse n’a pas été soutenue en 1987 mais en 1985 et le sujet de sa thèse ne porte pas sur «les mouvement sociaux sous la Ve République» mais s’intitule Bonapartisme et néocorporatisme sous la Ve République.
Laurent Mauduit ajoute qu'«en juin 1985, Cambadélis soutient sa thèse et obtient haut la main son doctorat». Le jury qui le lui accorde «présente cette singularité»de compter parmi ses membres «Pierre Fougeyrollas mais aussi Gérard Namer, professeur de sociologie et universitaire socialiste avec lequel Cambadélis […] a créé peu avant des sections Force ouvrière dans l’enseignement supérieur», soutient l’auteur, qui relève que sur son site internet propre, Cambadélis ne fait aucune allusion à ce diplôme.




