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[26 mai] Marées populaires

Lien publiée le 26 mai 2018

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Ces articles de la rubrique « Ailleurs sur le web » sont publiés à titre d'information et n'engagent pas la Tendance CLAIRE.

https://paris.demosphere.eu/rv/62052

Trajet / parcours : Départ 14h30 Gare de l'Est, en direction de Bastille
Gare de l'Est > République > Bastille

Marée populaire le 26 mai !

Pour l'égalité, la justice sociale et la solidarité

Communiqué commun

Un constat s'impose, Emmanuel Macron, son gouvernement et le Medef sont décidés à imposer coûte que coûte une restructuration en profondeur de la société française : politique d'austérité, destruction des droits des salarié.es, introduction de la sélection à l'entrée de l'université, casse des services publics, aggravation du sort des sans emplois, réorganisation aggravant les inégalités en matière d'accès à la justice, réforme fiscale favorable aux plus riches, loi répressive contre les migrant.es, priorité donnée au secret des affaires contre le droit à l'information, introduction de l'état d'urgence dans le droit commun, répression des mouvements sociaux et des jeunes des quartiers populaires, utilisation de l'égalité femmes-hommes comme simple outil de communication, sans moyens financiers, alors que les femmes sont les premières concernées par les régressions sociales… sans oublier une politique militariste au niveau international. La multiplication des mesures prises avec brutalité sur tous les fronts a un objectif, celui de créer un effet de sidération et espérer ainsi empêcher toute riposte. Le patronat profite de la situation pour multiplier les restructurations et rester sourd aux revendications du monde du travail. En s'en prenant aux personnels à statut, en particulier aux cheminot.es, Emmanuel Macron espère, s'il l'emporte, casser tout esprit de résistance.

Ce coup de force peut échouer, car les mobilisations se multiplient dans le pays, chacune avec sa spécificité : journée nationale d'action, grèves, occupation d'universités, manifestations… Il appartient évidemment aux organisations syndicales de décider, avec les personnels concernés, de leurs formes d'action. Chacune d'entre elles a, a priori, des ressorts différents, mais au-delà de tel ou tel aspect, ce dont il est question concerne la nature même de la société dans laquelle nous voulons vivre. Voulons-nous vivre dans une société où les droits sociaux seraient réduits à néant, où les services publics et la sécurité sociale auraient disparu, où l'inégalité de traitement des territoires serait la règle, où l'accès à l'université serait de plus en plus réduit, où les lanceuses et lanceurs d'alerte et journalistes seraient bâillonnés, où les défis écologiques seraient soumis aux intérêts de la finance, où le logement, les HLM et les locataires seraient marchandises, où la lutte contre les discriminations se réduit à des discours ? Ou, au contraire, voulons-nous une société plus juste, plus solidaire, plus démocratique, plus égalitaire avec un meilleur partage des richesses ? Tel est l'enjeu.

Le gouvernement espère que ces mobilisations sectorielles restent isolées et qu'il pourra les défaire les unes après les autres en tenant bon, en les laissant s'épuiser ou en les réprimant. Affichant sa détermination, il espère ainsi nous décourager. Il se trompe, comme le montre la multiplication des collectifs citoyens en lien avec les salarié.es, les retraité.es et les étudiant.es ainsi que le succès de la solidarité aux grévistes, notamment à ceux de la SNCF. Il s'agit maintenant d'aller plus loin et, toutes et tous ensemble, d'affirmer dans la rue que des alternatives existent, que nous ne nous résignons pas au sort que nous promet ce gouvernement. Il fait la sourde oreille, il faut le forcer à nous entendre et à retirer ses projets.

Dans le respect de nos champs d'interventions respectifs, nous voulons aller au-delà de toutes les mobilisations positives qui existent déjà et rassembler toutes les forces sociales, syndicales, associatives, politiques pour construire et réussir ensemble un grand rendez-vous citoyen. Partout en France organisons le samedi 26 mai une marée populaire pour l'égalité, la justice sociale et la solidarité.

Signataires :

Alternative et autogestion, Alternative Libertaire, APEIS, ATTAC, Climat social, Collectif des Associations Citoyennes, Collectif National pour les Droits des Femmes, Collectif La Fête à Macron, CGT , Coordination nationale de défense des hôpitaux et maternités de proximité, Convergence nationale de défense des services publics, DIDF, DIEM25, Droit au Logement, Écologie sociale, Europe Écologie Les Verts (EELV), Les Effronté.es, Ensemble !, Femmes Egalité, Fondation Copernic, France Insoumise, Gauche Démocratique et Sociale, Génération.s, MJCF, Mouvement Ecolo, Mouvement National des Chômeurs et Précaires, Nouvelle Donne, NPA, PCF, Parti de Gauche, Parti Ouvrier Indépendant Démocratique, PCOF, PCRF, République et Socialisme, Résistance Sociale, Snesup-FSU, Solidaires, Syndicat des Avocats de France, Syndicat de la Magistrature, UEC, UNEF, Union Nationale Lycéenne

https://mareepopulaire.fr/public/img/affiche_unitaire_lq.png

Document au format PDF:

Lien : https://paris.demosphere.eu/rv/62052
Source : message reçu le 18 mai 08h
Source : message reçu sur Prep.Coord.Nat le 16 mai 19h
Source : http://www.alternatifs-paris-sud.org/spip.php…
Source : https://twitter.com/MareePopulaire/status/997…


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26 Mai: Marée populaire

Collectif « La fête à Macron »

Depuis un an ou il est président, Emmanuel Macron, c'est « Robin des bois à l'envers : il prend aux pauvres pour donner aux riches.

De la CSG pour les retraités, mais la fin de l'ISF pour les actionnaires. Moins d'APL pour les familles modestes, mais on baisse l'impôt pour les grosses sociétés. Moins d'indemnités pour les licenciés, mais des stock-options pour ses ministres.

Voilà la « modernité » de notre président ! Tout pour «ceux qui réussissent» et rien pour « ceux qui ne sont rien ».

Première fortune mondiale, Warren Buffett déclarait :
« La guerre des classes existe, c'est un fait, mais c'est la mienne, la classe des riches, qui mène cette guerre et nous sommes en train de la remporter. »

En France aussi, la «classe des riches» remporte cette guerre :

  • En vingt ans, la part des 500 plus grandes fortunes est passée de 6 % du PIB à 25 % (source Challenges) ;
  • Les entreprises du CAC 40 viennent d'accumuler des profits records : 93 400 000 000 € (source Le Monde) ;
  • Les 5 % des foyers les plus aisés captent 42 % des réductions d'impôts (source OFCE).

La «classe des riches» remporte donc cette guerre...

avec le soutien du président Macron ! Et parfois à coups de bâtons!

Aux zadistes de Notre-Dame-des-Landes, tout comme aux étudiants, il fait donner la matraque. Pour les mineurs sans-papier, le temps de détention est doublé. Pour les cheminots, il se montre droit dans ses bottes. Alors que, quand ses amis les riches trichent avec les «paradise papers», le même Macron se tait.

Pas un mot. Pas une loi. Pas une intervention.
C'est la complicité : que ses copains financiers prospèrent en paix.

Dix bonnes raisons de faire sa fête à Macron

Emmanuel Macron et son gouvernement prétendent « réduire les déficits ». En fait, ils les creusent : leurs cadeaux fiscaux aux plus riches vont coûter des dizaines de milliards à l'Etat...

Quand il faut serrer la ceinture aux plus modestes, pour récupérer quelques centaines de millions.

Pour les riches

  • Actionnaires: Suppression de l'impôt sur la fortune (coût: 3,5 milliards)
  • Financiers : Instauration de la « flat tax » (coût : entre 1,5 et 10 milliards d'euros)
  • Multinationales : Baisse de l'impôt sur les sociétés (3 milliards d'euros)
  • Subventions : Hausse du Crédit impôt compétitivité emploi (20 milliards d'euros)
  • Exilès : Fin de l' «exit tax » (0,9 milliard d'euros)

Et pour les autres...

  • Locataires : Baisse de 5 € des aides au logement
  • Retraitès : Via la CSG, baisse de 20 € et plus (à partir de 1 200 €)
  • Licenciès : Plafonnement des indemnités
  • EHPAD : « La France n'a pa moyens d'emba s les ucher » (La ministre)
  • Ètudiants : Sélection à l'en à l'Univers tréeité

Cette France injuste, je n'en veux pas !

Le samedi 26 mai, je fais sa fête à Macron !

Document au format PDF:

Source : https://www.facebook.com/lafeteamacron/posts/…


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La CGT appelle à une large mobilisation le samedi 26 mai 2018

CGT

Engagée aux cotés des salariés dans de nombreuses luttes au sein des entreprises, des services publics pour l'égalité, la justice sociale et la solidarité la CGT propose une nouvelle journée de mobilisation le samedi 26 mai 2018.

Il s'agit de rassembler la jeunesse, les retraités, les salariés en emploi et hors de l'emploi, les précaires ainsi que toutes celles et ceux qui, solidaires des luttes en cours, ne sont pas encore engagés dans l'action.

Des initiatives diverses seront organisées localement, dans tous les départements, pour permettre au plus grand nombre d'y participer.

Partout, la CGT appelle d'autres forces sociales à « une marée populaire pour l'égalité, la justice sociale et la solidarité » qui doit déferler pour imposer une autre répartition des richesses dans notre pays. Faut-il rappeler que la France est le premier pays au monde en matière de dividendes versés aux actionnaires, soit l'équivalent de 407 milliards d'euros en 10 ans. Cela au détriment de l'intérêt général et du pouvoir d'achat.

Compte-tenu de l'urgence sociale, la CGT a pris la décision de construire cet appel avec d'autres organisations syndicales, associatives et politiques dans le respect des périmètres d'intervention et des prérogatives de chacune des organisations.

La CGT reste ainsi fidèle à ses principes d'indépendance tout en favorisant l'expression du plus grand nombre de citoyens.

Pour la CGT, cet appel est complémentaire aux autres mobilisations en cours, déjà programmées et celles à venir.

À ce titre, la CGT poursuivra sa démarche de rassemblement des salariés et des différents syndicats dans l'unité la plus large, à l'image de ce qui se fait dans de nombreuses professions, services ou entreprises.

La réussite de cette journée d'action sera un nouveau cap dans la construction d'un rapport de force indispensable à développer pour contrer les mauvais coups du patronat, du président Macron et de sa majorité parlementaire, et pour faire valoir l'exigence d'autres choix économiques et sociaux.

Document au format PDF:

Source : http://ufsecgt.fr/spip.php?article6607


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La FSU appelle à manifester le 26 mai

FSU

Emmanuel Macron et son gouvernement mènent une politique économique et sociale qui, y compris aux dires des observateurs comme l'OFCE, favorise les plus riches au détriment des plus fragiles et des classes moyennes. à l'injustice sociale s'ajoutent une injustice fiscale qui profite aux plus fortunés, une politique de contrôle envers les plus fragiles comme les chômeurs, les précaires, mais aussi une politique hostile aux migrants.

Ils déploient dans la même logique une politique qui remet en cause le modèle social en réduisant les capacités d'action des services publics et de la Fonction publique. Pourtant ceux-ci jouent un rôle essentiel pour la cohésion sociale du pays, la redistribution des richesses, l'accès des citoyen.ne.s aux droits sociaux et dans la lutte contre les inégalités.

Incompréhension, inquiétudes, colère…dans le secteur privé comme dans le public, les mécontentements se multiplient et se manifestent notamment à la SNCF, Air France, dans la Fonction publique…. mais aussi chez les jeunes qui refusent la sélection et souhaitent une réelle démocratisation de l'université ou encore chez les retraités qui exigent, ce qui devrait être une évidence, un pouvoir d'achat décent et de meilleures conditions de vie, mais aussi dans les populations les plus en difficulté sur le plan social et éducatif. Toutes les colères qui s'expriment dans les secteurs mobilisés ont un point commun : le rejet de la volonté du gouvernement de porter un coup fatal à notre modèle social. Car les réformes en cours risquent d'affaiblir notre modèle social et toutes les garanties collectives.

C'est à l'opposé de ce que porte la FSU pour une société plus juste et plus égalitaire, ce qui suppose de préserver et développer les services publics.

Affaiblir les services publics, c'est porter atteinte à l'égalité de tous et toutes sur le territoire, c'est tourner le dos au principe de solidarité, d'égalité qui fondent l'organisation de la société. C'est à l'opposé du projet de société que porte la FSU.

Aujourd'hui, le gouvernement reste sourd et méprisant, tout autant sur les revendications que sur les propositions faites notamment par les organisations syndicales.

Dans ce contexte, la FSU appelle à participer à la mobilisation citoyenne du 26 mai prochain pour rassembler les colères, faire valoir des alternatives à ces politiques libérales, porter les revendications sur le financement et le développement des services publics et un autre projet de société.

Elle appelle le mouvement syndical à se retrouver pour construire et faire valoir des alternatives aux politiques en cours.

arton1302

Source : http://syndicollectif.fr/la-fsu-appelle-a-man…
Source : http://www.alternatifs-paris-sud.org/spip.php…


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Manif « pot-au-feu »

Encore meilleur réchauffé !

Appel du collectif « Fête à Macron »

Samedi 26 mai tous ensemble ! (enfin…)

Ca y est, enfin, on avance

Syndicats, partis, associations travaillent à une manifestation commune, main dans la main, le samedi 26 mai.

Ça n'est pas encore totalement joué : cette initiative commune doit d'abord faire le tour des organisations, que chacune consulte ses adhérent.e.s et ses antennes locales.

Face à Macron et à son monde, face à l'oligarchie unie, personne ne peut gagner isolé.

Le mouvement citoyen, seul, est condamné à la défaite ; comme le mouvement politique ; comme le mouvement syndical.

Alors on invite les bases de tous les syndicats, de toutes les associations, de tous les partis, ainsi que tous les gens en dehors, à se saisir du 26 mai.

Le seul chemin pour la victoire, pour une victoire, c'est l'alliance de ces trois forces : syndicale, politique, citoyenne.

Notre Fête à Macron, ce samedi 5 mai, était une étape sur ce chemin

Des citoyens, au départ, qui appellent.
Les partis de gauche qui soutiennent.
Des bouts de syndicats, des fédérations, des unions locales, mais juste des bouts.
Des associations, des collectifs, mais pas assez.
Des intellectuels, des artistes, qui relaient et enrichissent le message commun.
Un «pot-au-feu», cuisiné à la bonne franquette par quelques artisans qui se débrouillent avec les moyens du bord.

Mais le «pot-au-feu», c'est meilleur rèchauffè...

Et, justement, les grosses organisations ont entendu notre double souhait :
une manifestation le week-end, et surtout, surtout, casser les cloisons.

Ce samedi 26 mai, on a l'occasion de faire carton plein.
D'installer un rapport de force.
Alors, allons-y ! À fond !

Nous avons trois semaines

Trois semaines pour diffuser des tracts dans les villes, les quartiers, les campagnes.
Trois semaines pour relayer le message sur les réseaux sociaux.
Trois semaines pour convaincre les retraité.e.s contre la CSG, les soignant.e.s des Ehpad, les féministes, les lycéen.ne.s sélectionné.e.s, les antiracistes, les écolos contre le tout-routier.
Trois semaines pour contacter des associations, des lutteurs de proximités, des rappeurs et autres musicien.ne.s.
Trois semaines pour préparer une manif qui ne soit pas qu'une manif, mais aussi, comme aujourd'hui, une fête, avec des concerts, de l'amitié...
Trois semaines pour, bien sûr, gonfler les cortèges des 7, 15 et 22 mai, soutenir les luttes en cours de cheminot.e.s, d'étudiant.e.s...

Que ça déborde de colère et de joie !

contact@lafeteamacron.org

Document au format PDF:

Source : message reçu le 10 mai 12h


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Mai… des grèves et des manifestations multiples

que nous préparons pour lutter tous et toutes ensemble

Solidaires

Un mois de grève des cheminot-es, la détermination toujours est là. Ils et elles le prouveront encore dans les jours qui viennent : le 7 avec SUD Rail pour dire à Edouard Philippe que nous ne sommes pas dupes des manoeuvres pour tenter de diviser l'intersyndicale et le 14 dans une journée « sans cheminot-es ».

Les cheminot-es continuent à rythmer la lutte mais ils-elles ne sont pas les seuls. Les personnels des Finances publiques sont entrés dans la danse contre les réorganisations et les suppressions d'emploi et multiplient les actions de blocages des centres des impôts (et oui, il n'y a pas que des étudiant-es qui bloquent).

Les hospitalier-es du public comme du privé organiseront une marée blanche le 15 maipour la défense du service public et l'amélioration de leurs conditions de travail.

Dans le privé la lutte emblématique d'Air France pour les salaires est entrée dans son deuxième mois et les syndicats ne se laissent pas impressionner par les manoeuvres de la direction. D'autres suivent chez les Velibs de Paris, en grève reconductible pour de meilleures compensations salariales.

Les étudiant-es résistent aux interventions policières et de nouvelles occupations d'université prennent le relai de celles qui ont été délogées par la police.

De nombreuses organisations syndicales de Solidaires sont engagées dans les initiatives du 5 mai afin de porter leurs luttes et leurs revendications de manière large, notre union syndicale sera à leur côté.

Les militants et militantes de Solidaires sont présent-es sur tous ces fronts, ils et elles se rencontrent, se rassemblent, luttent, s'entraident et se soutiennent. Nous construisons ensemble des échéances communes : le 22 mai qui réunira les fonctionnaires et ceux et celles hors de la fonction publique qui décideront de faire de cette journée le moment de convergence avec leur propre lutte, et nous préparons avec de nombreux syndicats, associations et partis un moment fort de contestation commune le 26 mai.

Les salaires sont un enjeu permanent de notre lutte contre l'exploitation, nous ne laisserons pas les actionnaires, les rentiers, les riches continuer à se gaver sur notre dos avec la bénédiction gouvernementale.

Les services publics sont notre zone à défendre, notre bien commun. Ceux et celles qui luttent se battent pour les droits de tous et toutes.