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Articles "Violences-Policières"

Il y a 33 articles correspondant au mot-clé "Violences-Policières"

France

Se saisir du moment: Frapper ensemble Macron et son gouvernement

Le spectre qui plane depuis 20 ans vient de ressurgir. « Les banlieues » sont revenues percuter l'espace politique de la plus franche des façons, par l'émeute, la révolte, l'affrontement direct contre les symboles de l'Etat, les forces de répressions, les magasins de première nécessité ou de prêt à porter et quelques fois des bijouteries, des enseignes de luxe, un Apple store à Paris et, à Marseille, d'une armurerie.

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Répression policière

La police en roue libre : le refus d’obtempérer ne doit donner aucun permis de tuer !

Dans la matinée du samedi 4 juin à Paris, dans des rues fréquentées du XVIIIe arrondissement, Rayana, jeune femme de vingt-et-un ans, a été tuée par la police d’une balle dans la tête. Contrairement à ce qu’essaient de faire maladroitement croire les syndicats de police et une large partie des éditorialistes et chroniqueurs politiques sur les chaînes d’info en continu, cette mort est à tout point de vue insupportable, et elle témoigne une nouvelle fois, de la façon la plus tragique, de la violence injustifiée que ne cesse d’exercer la police française, parce qu’on lui en donne (toujours plus) les moyens.

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Police

"La police tue": sur la criminalisation des critiques de la police

Le 13 octobre, notre camarade Philippe Poutou déclarait sur France Info : « la police tue ». Il s’agit moins là d’une analyse de la violence policière que d’une simple réaction aux propos de Dominique Lanoë, adjoint à la mairie de Cachan et membre de la France Insoumise, qui avait lui-même remarqué : « Je croyais que le but de la police, c’était de protéger la population, pas nécessairement de posséder des armes pour la tuer ». Lire la suite...

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Gilets jaunes

Après la violence du 1er mai, se préparer à faire face

Les comptes rendus, les articles, les témoignages, les publications sur les réseaux sociaux ou encore les vidéos et les photos de la manifestation parisienne du 1er mai mettent tous en évidence une chose : le gouvernement Macron, et particulièrement le Ministère de l’Intérieur avec Castaner aux commandes a fait le choix très clair de détruire par la force la plus brutale tout mouvement de contestation.  Lire la suite...

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Gilets jaunes

Loi "anti-casseurs" ou loi anti-opposant.e.s politiques ?


Des milliers arrestations « préventives » et des garde-à-vue le plus souvent parfaitement arbitraires (comme le prouve le fait qu’il y ait plus de 5000 gardes à vue pour à peine plus de 250 personnes poursuivies après) ; des consignes données par le pouvoir pour garder à vue y compris les personnes manifestement innocentes de toute infraction et pour traîner en justice un maximum de gardés à vue sous les prétextes les plus futiles Lire la suite...

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Répression

Garde-à-vue prolongée pour les occupant-e-s du lycée Arago Toujours plus loin dans la répression ! Jusqu’à quand les directions syndicales vont-elles accepter l’inacceptable ?

Mardi 22 avril après la manifestation, une centaine de personnes ont occupé pacifiquement le lycée Arago à Paris. En fin d'après midi, les flics sont intervenus violemment et ont arrêté l'ensemble des occupant-e-s. Les manifestant-e-s arrêté-e-s ont ensuite attendu plus de 4 heures dans des bus, dans le noir, sans pouvoir manger ou boire, sans pouvoir aller aux toilettes. C'est illégal. Au bout de 4h, ils auraient du être relâchés ou mis en garde-à-vue. Mais les flics se croient désormais tout permis. Ils rigolaient à l'extérieur. Certain-e-s ont été extrait-e-s hors des bus pour être parqués dehors, contraint-e-s d'uriner par terre. Traité-e-s comme des chiens.

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Violences policières

A peine 10 jours après la Marche pour la Justice et la Dignité, la police tue de nouveau !

Dimanche 26 mars, Liu Shaoyo, 56 ans, est tué par des agents de la BAC sur le péron de son appartement, après un appel des voisins qui s'apparente à de la délation.

La version policière, bien relayée par les torchons comme le Figaro, parle de légitime défense, en signalant que la victime s'était jetée sur un des agents avec … une paire de ciseaux.

Très rapidement, cette version a été démentie par la famille, présente lors du meurtre. Si Liu Shaoyo avait des ciseaux, c'est qu'il cuisinait du poisson, et s'il était sur le pas de sa porte, c'est qu'il s'inquiétait largement des coups portés sur la porte de son appartement, par des gens armés en civil. Il s'agissait d'agents de la BAC. Ces agents ont donc tué un homme devant ses enfants.

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Racisme d’État/Violences policières

19 mars : la marche pour la Justice et la Dignité a été un succès

Ce dimanche 19 mars, un front de lutte radical et déterminé à fait irruption dans la campagne présidentielle.

À l'appel de 14 familles victimes de crimes policiers dont celles d'Ali Ziri, d'Abdoulaye Camara ou encore de Rémi Fraisse et de nombreuses organisations de luttes contre les violences policières tel le collectif Urgence notre police Assassine, [dont la porte-parole Amal Bentounsi grâce à lutte sans treve réussi à faire condamner le policier assassin de son frère], la marche pour la Justice et la Dignité à été un succès malgré une invisibilisation médiatique systématique.

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Violences policières

Émeutes à Aulnay-sous-bois : qui sème la hogra récolte l’intifada !

Des voitures et des poubelles brûlées, des dizaines de personnes rassemblées dehors et des affrontements avec la police ont eus lieu hier a Aulnay-sous-Bois. Expulser la colère, exprimer la colère à l'encontre de l’État et de son bras armé.

L'élément déclencheur ? L'interpellation violente de Théo Luhaka qui protesta face à un énième contrôle policier, un énième contrôle au faciès.

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Répression

Contre la répression et les violences policières, pour la justice et la dignité !

Ce samedi 28 janvier avait lieu à Paris une manifestation contre la (les) répression(s), à l’appel de la « Coordination contre la répression et les violences policières ». Nous y étions présent-e-s sous le drapeau du NPA, aux côtés d’environ 400 manifestant-e-s combatifs/ves, pour exprimer notre solidarité avec tou-te-s celles/ceux que frappe l’État, chargé du maintien de l’ordre capitaliste. Une série de prises de parole sur la Place de la République a illustré l’étendue de la répression et des violences policières, notamment contre les militant-e-s et les personnes racisées. Notre camarade Baptiste est intervenu en soulignant la nécessité de formuler un programme révolutionnaire pour renverser l'État policier. Puis nous avons cheminé d’un pas vif vers le Tribunal de Grande Instance.
 

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Meeting de solidarité

Libération immédiate de Youssouf et Bagui Traoré !

Cambadélis, 1er secrétaire du PS, a fait semblant de s'émouvoir de l'assassinat de Malik Oussekine il y a 30 ans, tabassé a mort par les "voltigeurs" de Pasqua. Parallèlement, son parti au pouvoir est directement responsable d'au moins deux crimes policiers : celui de Rémi Fraisse en 2014 et celui plus récemment d'Adama Traoré, sans compter les innombrables cas de violences policières dans les quartiers populaires ou contre les manifestant.e.s lors des mobilisations contre la loi travail. Lire la suite...

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Édito

De Calais à Stalingrad, de Beaumont-sur-Oise en Paca : le tour de France du racisme et de l’impunité

Indignation, dégoût et mépris. Voilà ce que l'on peut retenir de cette semaine pendant laquelle le gouvernement de « monsieur 4% » continue sa sale besogne. Face a la surenchère sécuritaire étalée lors des primaires de la droite, les copinages FN-LR anti-migrants ou encore la continuation des manifs de flics réclamant toujours un permis de tuer (malgré une nouvel assassinat), l’État s'est inscrit dans la continuité de sa politique sécuritaire, évacuant le campement de Stalingrad après avoir détruit la « jungle » de Calais. Lire la suite...

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Marche pour Adama

Pour Adama, et pour toutes les victimes de la police

La détermination était palpable parmi les 1500 personnes qui ont défilé de Chatelet jusqu’à la place de la République. La conscience, aussi, parce que malheureusement, les violences policières, impunies dans la plupart des cas, sont légion. L’émotion était forte pendant la minute de silence, puis pendant que les organisatrices/eurs de la marche égrenaient les noms des victimes de ces dernières décennies, scandés par le mot d’ordre : « on n’oublie pas, on pardonne pas ». Lire la suite...

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Tribune

Contre le coup de force: non à l’impunité policière et au permis de tuer

Une soixantaine de personnes, intellectuels, universitaires, membres de collectifs, proches de victimes, signent une tribune pour dire pourquoi ils ne partagent pas la « colère » des policiers et dénoncent leurs « manifestations ».

Depuis dix jours la situation politique en France a connu un nouveau mouvement à droite. Les événements de Viry-Chatillon ont suscité un emballement médiatique présentant les policiers comme des victimes de la crise profonde, sociale, idéologique et politique, qui affecte le pays, emballement accompagné par un programme de revendications proprement réactionnaires.

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Racisme d’État/Violences policières

« Faisons front ! » : meeting de Jussieu contre l’islamophobie et les racismes d’État

Ce vendredi 21 octobre avait lieu à l'université de Jussieu un important meeting organisé conjointement par le comité de mobilisation de la fac et l'association d'étudiant-e-s Averroès. Celui-ci s'inscrivait dans la continuité du meeting à Tolbiac du 6 octobre, mais aussi dans le contexte des meetings interdits plus récemment à l'université d'Évry et à Tolbiac. Avec une affluence d'environ 200 personnes, il constituait un véritable événement dans la vie de cette fac immense qui passe pour une des moins politisées de la capitale. Les cinq interventions depuis la tribune ont été saluées par de vifs applaudissements et des slogans politiques repris en chœur. Lire la suite...

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Racisme d’État/Violences policières

Marche contre le racisme d’état à Toulouse en mémoire du 17 octobre 1961

Ce samedi 15 octobre à Toulouse le collectif pour une union antiraciste et populaire (cuap) a été à l'initiative d'une marche contre le racisme d'Etat, les violences policières et l'impérialisme. Cette marche en mémoire du massacre du 1961 est partie des quartiers populaires et a fait étape sur des lieux symboliques de l'histoire coloniale et de l'actualité raciste de la république française. La manifestation a réuni plus de 150 personnes Lire la suite...

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Répression / Violences policières / Racisme d’État

Meeting unitaire : «En France la peine de mort est abolie mais pas la mise à mort»

Jeudi dernier, deux mondes séparés se sont rencontrés lors d'un meeting à la fac de Tolbiac mettant au centre la dénonciation de la répression et des violences policières. D’un côté des jeunes, des étudiant.e.s, des syndicalistes, qui ont pu faire l'expérience de la répression d'Etat au printemps dernier dans leur mobilisation contre la loi travail. De l’autre, des militant.e.s de l’antiracisme politique, des proches ou parent.e.s de victimes des violences policières, bien au fait de cette réalité éprouvée quotidiennement, et cela depuis des décennies déjà, dans les quartiers populaires ou plus généralement par les personnes non-Blanches. Dans la salle comble, les différentes parties ont clairement affirmé la nécessité et la volonté d'arriver à lutter ensemble, au-delà de ce premier pas, pour obtenir justice et faire vraiment reculer les violences et le racisme d'Etat. Lire la suite...

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#JusticePourAdama

Vérité et justice pour Adama Traoré. La police mutile, la police assassine !

Mardi, suite a une interpellation, un jeune homme Noir de 24 ans est décédé à Beaumont-sur-Oise. Selon la police, la mort du jeune homme serait survenue suite à un malaise cardiaque après que celui ci soit «venu au contact» des forces du désordre. Pourtant, comme en témoignent les commentaires et prises de parol des proches de la victime, il s’agirait plutôt d'une énième bavure policière : Adama Traoré aurait été frappé à mort. Lire la suite...

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Répression

Rassemblement de solidarité avec Adil et tou-te-s les réprimé-e-s : à bas la répression et la loi Travail !

Ce vendredi 24 juin avait lieu un rassemblement devant le commissariat de la rue de Parme (Paris). Les manifestant-e-s revendiquaient la libération immédiate d'Adil, postier de la PFC de Gennevilliers gardé à vue, et de tou-te-s les manifestant-e-s en garde à vue. Hier, lui et plusieurs de ses collègues ont été embarqué-e-s alors qu'ils se rendaient au départ de la manifestation à Bastille. À l'occasion de cette « manifestation en cage », la police a procédé à un nombre record d'interpellations sans fondement... Lire la suite...

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Tribune

Ce gouvernement a peur

Une soixantaine d'intellectuels, de militants et de syndicalistes appellent à résister au gouvernement et poursuivre les grèves, blocages et occupations.

Les voilà, leur grande peur et leurs grands moyens pour essayer de la masquer en jouant les fiers-à-bras qui ne cèdent pas. On s’y attendait depuis des mois, et la voici brandie, la menace d’interdiction des manifestations. Un sommet dans l’inacceptable ? Il peut toujours y avoir pire avec ce gouvernement. Celui-là même qui commémore cyniquement les grèves du Front populaire. Qu’il défende ses intérêts, ceux des puissants, ceux des profits et de l’argent ; c’est de bonne guerre, c’est sa guerre ; mais qu’il ravale ses célébrations et récupérations d’un passé qu’il ne cesse de fouler au pied.

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